- Pré-requis et Objectifs
- Cours
- Evaluations
- Annexes
Il s’agit principalement de l’oncocytome et de l’angiomyolipome :
Les lésions kystiques du rein sont classées selon des critères d’imagerie (scanner) d’après la classification de Bosniak (tableau 2).
Type I : kyste simple | Densité hydrique Homogène Limites régulières sans paroi visible Pas de rehaussement après injection de PDC* |
Type II : kyste atypique | Cloisons fines Fines calcifications pariétales Kystes hyperdenses Pas de rehaussement après injection de PDC* |
Type IIF | Cloisons nombreuses et fines Paroi légèrement épaissie Calcifications pariétales et cloisons régulières Kyste hyperdense |
Type III : kyste suspect | Cloisons nombreuses et épaisses Paroi épaisse Limites irrégulières Calcifications épaisses et irrégulières Contenu dense Rehaussement de la paroi ou des cloisons après injection de PDC* |
Type IV : cancer à forme kystique | Paroi épaisse et irrégulière Végétations ou nodule mural Rehaussement de la paroi ou des végétations après injection de PDC* |
Les kystes de type I et II sont considérés comme bénins et ne nécessitent pas de surveillance.
Les kystes de type III et IV sont à haut risque de malignité (45 % pour les types III et 95 % dans les types IV), et il est recommandé d’en faire l’exérèse chirurgicale.