• Pré-requis et Objectifs
• Cours
  • Contenu
    • 1 - Description et mode d’action des différentes classes de contraception hormonale
      • 1.1 - Estroprogestatifs
      • 1.2 - Progestatifs seuls
    • 2 - Aspects pratiques de la prescription du traitement contraceptif
      • 2.1 - Estroprogestatifs
      • 2.2 - Microprogestatifs
      • 2.3 - Macroprogestatifs
    • 3 - Contre-indications des contraceptifs oraux
      • 3.1 - Contre-indications aux estroprogestatifs
      • 3.2 - Contre-indications aux macro et microprogestatifs
    • 4 - Indications et sélection des utilisatrices
    • 5 - Efficacité des différents moyens contraceptifs hormonaux
      • 5.1 - Indice de Pearl
      • 5.2 - Interactions médicamenteuses
      • 5.3 - Cas particulier de l’adolescente
    • 6 - Tolérance des contraceptifs oraux
      • 6.1 - Estroprogestatifs
      • 6.2 - Microprogestatifs
      • 6.3 - Macroprogestatifs
    • 7 - Surveillance de la contraception
      • 7.1 - Examen clinique
      • 7.2 - Surveillance biologique
      • 7.3 - Surveillance gynécologique
    • 8 - Contraception hormonale chez les femmes à risque
      • 8.1 - Femme diabétique
      • 8.2 - Cas de contraception et dyslipidémie
      • 8.3 - Risque de contraception et thrombose veineuse
      • 8.4 - Femmes hypertendues
      • 8.5 - Autres
    • 9 - Contraception d’urgence
  • Points essentiels
  • Version PDF
• Annexes

• Aide
• Auteurs
• Contacts

4  -  Indications et sélection des utilisatrices

En l’absence de contre-indication absolue aux estroprogestatifs (cf. supra), de lésion gynécologique et/ou de troubles des règles qui nécessitent une exploration diagnostique préalable, le meilleur choix actuel est une pilule minidosée (< 50 mg d’éthynyl-estradiol) avec un progestatif de 2^e génération à faible dose (£ 150 mg de lévonorgestrel). On choisira en premier lieu une pilule monophasique et remboursée par la Sécurité sociale (Minidril^®).

Le bilan préthérapeutique clinique et biologique fait l’objet de recommandation médicale opposable (RMO) (cf. infra, p. 77 : ANAES).

Le choix de la contraception chez une femme à risque vasculaire doit être plus précisément discuté (cf. infra, p. 77 : ANAES).

Après l’âge de 35 ans, compte tenu du risque plus important de certaines pathologies (notamment thromboembolique et mammaire), le type de contraception doit être réévalué en fonction du terrain de chaque femme.