• Pré-requis et Objectifs
• Cours
  • Contenu
    • 1 - Pour bien comprendre
      • 1.1 - Généralités
        • 1 . 1 . 1 - Physiopathologie
        • 1 . 1 . 2 - Cardiopathies congénitales
      • 1.2 - Spécificités pédiatriques
        • 1 . 2 . 1 - Sémiologie cardiovasculaire
        • 1 . 2 . 2 - Électrocardiogramme
    • 2 - Orientation diagnostique
      • 2.1 - Démarche diagnostique
        • 2 . 1 . 1 - Conduire l’enquête clinique
        • 2 . 1 . 2 - Distinguer un souffle cardiaque fonctionnel ou organique
        • 2 . 1 . 3 - Conduite pratique
      • 2.2 - Points clés à propos des souffles organiques
        • 2 . 2 . 1 - Communication interventriculaire (CIV)
        • 2 . 2 . 2 - Communication interauriculaire (CIA)
        • 2 . 2 . 3 - Persistance du canal artériel (PCA)
        • 2 . 2 . 4 - Tétralogie de Fallot
        • 2 . 2 . 5 - Coarctation de l’aorte
        • 2 . 2 . 6 - Sténose valvulaire pulmonaire
        • 2 . 2 . 7 - Rétrécissement valvulaire aortique
    • 3 - Principes de prise en charge
      • 3.1 - Souffle cardiaque fonctionnel
      • 3.2 - Souffle cardiaque organique
    • 4 - Annexes
      • 4.1 - Point de vue de l’expert
      • 4.2 - Références
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3  -  Principes de prise en charge

3 . 1  -  Souffle cardiaque fonctionnel

• Rassurer avant tout les parents et l’enfant :
  • situer le souffle cardiaque comme a priori « bénin » ;
  • les informer du bon pronostic (disparition en quelques années).

• Aucune mesure préventive :
  • activités quotidiennes normales, pas de contre-indication à la pratique du sport ;
  • pas de prévention du risque d’endocardite d’Osler.

3 . 2  -  Souffle cardiaque organique

Toute cardiopathie de l’enfant doit être prise en charge par un cardiopédiatre. Le suivi clinique et échocardiographique permet de déterminer la prise en charge et le pronostic.

Le médecin traitant doit connaître le type de cardiopathie ainsi que les traitements médicamenteux éventuels prescrits.

L’antibioprophylaxie de l’endocardite d’Osler est recommandée seulement en cas de :

• prothèse valvulaire aortique ou mitrale ;
• cardiopathie cyanogène non opérée ou traitée de façon palliative ;
• antécédents d’endocardite infectieuse.