Ils sont réalisés chez l’homme après avis du comité départemental d’éthique. Ils sont initiés par un « promoteur », réalisés en clinique par un « investigateur » et les résultats sont vérifiés par un « moniteur » indépendant.
L’évaluation de la biocompatibilité ne peut être faite qu’à partir d’un ensemble de tests. Ces derniers doivent être réalisés mais surtout interprétés par des spécialistes en fonction de la future utilisation clinique du biomatériau. Cela permet d’éviter de rejeter des biomatériaux utilisés avec succès depuis longtemps et qui ne passeraient pas les tests imposés aujourd’hui aux matériaux modernes, comme par exemple le mélange oxyde de zinc-eugénol.