• Retour au cours 5 Fluoro-Uracile : Médicament utilisé dans le traitement du cancer. Il appartient à la classe des médicaments antimétabolites, sous-classe des analogues de la pyrimidine.
  • Retour au cours acide acétique : Acide acétique ou acide éthanoïque : Acide carboxylique organique provenant essentiellement de la dégradation de l'acide pyruvique ou de l'acide butyrique. L'acide acétique pur est un liquide incolore et inflammable. Le vinaigre contient l'acide acétique qui entre dans la composition de nombreux produits antiseptiques, c'est-à-dire anti-infectieux, et de solution tampon, c'est-à-dire de solution qui limite les variations du pH d'un milieu lors de l'addition d'un acide ou bien d'une base. L'acide acétique se présente sous la forme d'un liquide incolore dont l'odeur est suffocante, c'est ce qui donne au vinaigre son goût particulier.
  • Retour au cours adénomégalie : Augmentation de volume des ganglions lymphatiques.
  • Retour au cours anse diathermique : Instrument de chirurgie permettant de saisir des lésions et de les sectionner par électrocoagulation.
  • Retour au cours asthénie : Affaiblissement de l'organisme, fatigue physique. Par extension, elle peut concerner l'état psychique, la libido ou l'intellect.
  • Retour au cours cellulolymphadénectomie pelvienne : Ablation des ganglions lymphatiques de la région pelvienne, parfois requise dans le cas de cancer du col utérin ou des ovaires.
  • Retour au cours cervicectomie : Intervention chirurgicale qui consiste à enlever le col de l'utérus. Cette opération peut s'avérer nécessaire dans le cas d'un accouchement par le siège, avec rétention de la tête fœtale. Si les manœuvres n'ont pas permis le passage de la tête et si le col est rétracté, la cervicectomie peut être une solution.
  • Retour au cours césium : Métal alcalin argent-doré dont le point de fusion est suffisamment proche de la température ambiante pour qu'il soit possible de l'obtenir à l'état liquide à cette température grâce à la surfusion.
  • Retour au cours cœlioscopie : Cœlioscopie ou laparoscopie : Technique chirurgicale mini-invasive de diagnostic (cœlioscopie proprement dite) et d'intervention (cœliochirurgie) sur la cavité abdominale, de plus en plus utilisée sur l'appareil digestif (chirurgie viscérale), en gynécologie, et en urologie. Elle fait partie des techniques d'endoscopie chirurgicale.
  • Retour au cours ColpoHystérectomie : Ablation chirurgicale de l'utérus et de la partie supérieure du vagin. Une colpohystérectomie est surtout pratiquée dans le traitement des cancers génitaux (adénocarcinome endométrial ; adénocarcinome ou carcinome épidermoïde du col de l'utérus), mais elle peut également être indiquée dans certains cas de prolapsus génital (descente du vagin et de l'utérus). S'il y a cancer, l'intervention s'accompagne souvent de l'ablation des paramètres (lames fibreuses qui relient l'utérus au bassin) et des ganglions iliaques externes et internes. Elle est alors aussi appelée opération de Wertheim (du nom de celui qui a décrit cette technique). On parle de Wertheim de type 1, 2, 3 ou 4 selon l'étendue de la résection. Une colpohystérectomie se pratique par laparotomie sous anesthésie générale.
  • Retour au cours colposcopie : Étude de la morphologie du col utérin et du vagin au moyen d'un colposcope (loupe binoculaire qui grossit de vingt à cinquante fois, selon les appareils et les optiques choisies pour cet examen médical, pour rechercher et repérer sur ces organes des lésions inflammatoires ou précancéreuses ou cancéreuses et ensuite pratiquer des biopsies guidées de ces lésions.
  • Retour au cours conisation : Technique chirurgicale qui consiste à l'ablation d'un fragment du col de l'utérus en forme de cône. Le but d'une conisation est double : retirer la partie dysplasique (précancéreuse) du col utérin ; analyser le fragment prélevé afin de connaître avec précision la nature des lésions et afin de s'assurer de l'absence d'une lésion plus évoluée.
  • Retour au cours curiethérapie : Curiethérapie ou brachythérapie : Technique de radiothérapie mise au point à l'Institut Curie, où la source des radiations est placée à l'intérieur ou à proximité immédiate de la zone à traiter. La curiethérapie est couramment utilisée comme un traitement efficace pour soigner le cancer du col de l'utérus, de la prostate, du sein ou de la peau. Elle peut également être utilisée pour traiter des tumeurs dans beaucoup d'autres endroits du corps. La curiethérapie peut être utilisée toute seule ou en combinaison avec d'autres traitements comme la chirurgie, la radiothérapie externe et la chimiothérapie.
  • Retour au cours cystite : Inflammation de la vessie. La cystite est le plus souvent d'origine bactérienne (colibacilles, naturellement présents dans l'intestin); mais peut aussi être due à un agent toxique : traitement anticancéreux ou radiothérapie. C'est une affection fréquente chez la femme, car elle possède un urètre court, ce qui augmente le risque d'infection urinaire.
  • Retour au cours cystoscopie : Examen médical permettant d'étudier la paroi interne (muqueuse) de la vessie afin de déceler les anomalies. La cystoscopie est indiquée en cas : d'antécédents familiaux ou personnels de cancer de la vessie ; de présence de sang dans les urines ; d'infections urinaires à répétition sans cause évidente. Elle recherche un cancer, des polypes, une inflammation ou infection, une malformation. C'est un examen qui se déroule en médecine ambulatoire, sous anesthésie locale pour les hommes et dure environ une demi-heure. Le médecin explore les parois internes de la vessie grâce à un cystoscope qui est un tube mince muni à son extrémité d'une lentille reliée à une source lumineuse (endoscopie). Une fois le cystoscope introduit dans l'urètre, il pourra alors commencer son exploration en remontant jusqu'à la vessie et visualiser alors les muqueuses de celle-ci. Le médecin pourra éventuellement effectuer des prélèvements. Après l'examen, le patient peut avoir des besoins d'uriner pressant durant quelques heures et des impressions de brûlure en urinant. Cet examen se déroule sans préparation particulière, il n'est pas nécessaire d'être à jeun. Le patient doit simplement vérifier la stérilité de ses urines 4-5 jours avant l'examen en effectuant une analyse d'urines dans un laboratoire d'analyses médicales. En cas d'infection, un traitement antibiotique devra être mis en place dans la mesure du possible au minimum 24 heures avant l'examen. Les infections urinaires et les saignements urinaires transitoires sont les rares complications de cet examen.
  • Retour au cours dyspareunie : Dyspareunie ou algopareunie : Douleur de nature et d'intensité variables ressentie lors des rapports sexuels. Presque systématique lors du premier rapport vaginal due au déchirement de l'hymen. Elle devient en revanche incapacitante lorsqu'elle a lieu à tous les rapports suivants. Les douleurs peuvent être les symptômes de pathologies le plus souvent bénignes mais parfois graves, aussi est-il fortement conseillé de demander l'avis d'un médecin gynécologue qui, seul, pourra répondre à toutes interrogations, poser un diagnostic et envisager un traitement.
  • Retour au cours dysurie : Difficulté à l'évacuation de la vessie. La dysurie est souvent méconnue car indolore et d'installation progressive. On décrit la dysurie d'attente, initiale au début de la miction, et la dysurie de poussée, parfois terminale. Cette dysurie s'accompagne d'une diminution de la force du jet. On en rapproche les mictions en deux temps, les gouttes retardataires, et la sensation de vessie non vide en fin de miction.
  • Retour au cours endocol : Partie interne du col de l'utérus permettant de faire communiquer l'exocol (partie externe du col) et l'endomètre (couche de cellules recouvrant l'intérieur de l'utérus). L'endocol et l'exocol sont séparés entre eux par une région de jonction où s'effectuent les frottis de dépistage du cancer du col de l'utérus.
  • Retour au cours épreinte : Douleur abdominale – de type colique s'accompagnant d'une contraction douloureuse et répétitive – de la partie terminale du côlon et du rectum s'achevant par une fausse envie pressante et impérieuse d'aller à la selle.
  • Retour au cours exentération : Opération chirurgicale radicale consistant en l'ablation de tous les organes de la cavité pelvienne (appareil urinaire, urètre, rectum, anus, vagin, col, utérus, trompes, ovaires, vulve, prostate).
  • Retour au cours hématurie : Présence de sang dans les urines. En fait on dépiste la présence de globules rouges en quantité anormalement élevée.
  • Retour au cours hystérectomie : Acte chirurgical qui consiste à enlever tout ou une partie de l'utérus. On parle d'hystérectomie totale si elle comprend le corps et le col utérins (avec annexectomie (hystérectomie non conservatrice)). Elle est dite subtotale si on laisse en place le col utérin. On dit aussi hystérectomie « conservatrice » ou « interannexielle » si les ovaires et les trompes de Fallope sont laissés en place.
  • Retour au cours iléite : Inflammation de la dernière partie de l'intestin grêle, l'iléon. Une iléite peut être aiguë ou chronique. Les iléites aiguës sont dues à des maladies aiguës, bactériennes ou virales, et se traduisent par des signes qui simulent une crise d'appendicite : douleurs abdominales dans la partie inférieure droite de l'abdomen. Les iléites chroniques sont principalement représentées par la maladie de Crohn ; la tuberculose et de nombreuses infections opportunistes (ne se déclarant que sur un terrain immunodéprimé) accompagnant le sida peuvent également entraîner une atteinte chronique de l'iléon. Elles se traduisent par des douleurs de même localisation que celles des iléites aiguës, associées à une diarrhée. Le diagnostic d'une iléite repose sur l'examen radiologique. La coloscopie permet également l'exploration des derniers centimètres de l'intestin grêle. Le traitement, très variable, dépend de la maladie en cause ; de nombreuses iléites aiguës guérissent spontanément.
  • Retour au cours intervention de Schauta : Intervention de Schauta ou hystérectomie élargie vaginale : Ablation chirurgicale de l'utérus (hystérectomie) par voie vaginale, dite « élargie » lorsque d'autres prélèvements sont réalisés pendant l'intervention.
  • Retour au cours intervention de Wertheim : Intervention de Wertheim ou hystérectomie élargie : Ablation chirurgicale de l'utérus (hystérectomie), dite « élargie » lorsque d'autres prélèvements sont réalisés pendant l'intervention : lymphadénectomie (exérèse des ganglions situés dans le petit bassin ou le long des gros vaisseaux au niveau abdominal), l'exérèse de la partie supérieure du vagin, l'exérèse de l'épiploon (graisse située autour du gros intestin) et de la dissection des uretères (canaux véhiculant l'urine entre les reins et la vessie). L'hystérectomie élargie peut être réalisée par voie abdominale. L'intervention est réalisée par ouverture de l'abdomen par une incision soit horizontale, soit verticale. L'hystérectomie élargie peut être réalisée par laparoscopie. Quatre à cinq incisions infracentimétriques sont réalisées au niveau de l'ombilic et dans la région supra-pubienne.
  • Retour au cours Leucorrhée : Écoulement non sanglant provenant du vagin. Elle peut être physiologique (par sécrétion de glaire cervicale et desquamation vaginale) ou pathologique témoignant d'une infection, le plus souvent d'une vaginite. Bien que le terme leucorrhée signifie littéralement « sécrétion blanche », la couleur de la sécrétion vaginale peut varier en fonction de la cause : elle peut aller d'une sécrétion laiteuse à verdâtre. Les écoulements sanguinolents sont à considérer comme des métrorragies. On considère comme anormales des pertes vaginales malodorantes ou responsables d'irritation et de démangeaison.
  • Retour au cours lymphadénectomie : Ablation chirurgicale des ganglions lymphatiques et/ ou des vaisseaux lymphatiques. La lymphadénectomie est effectuée lors de certaines interventions, quand il est nécessaire de supprimer les ganglions concernés par une pathologie (le plus souvent le processus cancéreux). Il s'agit par exemple du cancer de la vulve ou du cancer du vagin.
  • Retour au cours lymphographie : Examen radiologique des voies et des ganglions lymphatiques après préparation (injection d'une substance iodée opaque aux rayons X). La lymphographie est un examen beaucoup moins utilisé que par le passé. Actuellement elle permet d'apprécier l'évolution de certains types de cancer (col de l'utérus, testicule). Cet examen radiologique permet également de planifier un traitement et de surveiller une pathologie. Les ganglions lymphatiques ont la propriété de retenir les cellules cancéreuses. C'est une des raisons pour lesquelles il est nécessaire de les surveiller. La lymphographie est très souvent remplacée par le scanner ou l'IRM, permettant d'obtenir un diagnostic sur des adénopathies (augmentation de volume des ganglions) profondes.
  • Retour au cours métastase : Croissance d'un organisme pathogène ou d'une cellule tumorale à distance du site initialement atteint. Chez l'homme, les métastases peuvent se produire par diffusion de cellules malignes ou de microorganismes par voie sanguine (hématogène) ou lymphatique (les ganglions lymphatiques métastatiques sont appelés adénopathies).
  • Retour au cours Métrorragie : Saignement génital survenant en dehors des règles. On peut avoir des métrorragies après la ménopause ou à cause d'une grossesse extra-utérine rompue. Dans ce dernier cas le fœtus peut s'être développé dans les trompes (au lieu de l'utérus) et ainsi, rompre un vaisseau sanguin. La métrorragie peut ainsi signer un hémopéritoine. C'est une urgence médicale. Le terme métrorragie ne préjuge en rien de l'abondance du saignement. Il ne faut pas confondre métrorragie avec ménorragie, qui définit des règles anormalement longues et abondantes.
  • Retour au cours œstroprogestatif : Produit inhibiteur de l'ovulation, associant un progestatif et un œstrogène.
  • Retour au cours papillomavirus humain : Virus à ADN faisant partie de la famille des Papillomaviridae. Il est responsable des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes puisque l'estimation des personnes contaminées par ce virus est comprise entre 10 et 30 %. Il existe plus de 200 génotypes de papillomavirus. Certains génotypes se transmettent par voie sexuelle et infectent les muqueuses génitales, d'autres se transmettent par contacts cutanés et infectent la peau. Les manifestations cliniques les plus connues de la contamination sexuelle sont les condylomes acuminés (dits également « verrues génitales », ou « végétations vénériennes » ou « crêtes de coq »). Mais la gravité de cette infection est que certains génotypes sont le facteur obligatoire du cancer du col de l'utérus. Cela permet d'entrevoir, par la vaccination préventive contre ces virus, un espoir d'éradiquer un jour ce cancer. Les manifestations cliniques cutanées de l'infection à HPV comprennent les verrues vulgaires et les verrues plantaires. Enfin, la transmission peut se faire de la mère à son enfant lors de l'accouchement, bien que cela arrive rarement.
  • Retour au cours pelvectomie : Ablation chirurgicale totale ou partielle des organes contenus dans le pelvis (le bassin), à savoir : la vessie, l'utérus, le rectum. Il est nécessaire de distinguer la pelvectomie antérieure qui consiste à procéder à l'exérèse de la vessie : il s'agit de la cystectomie. La pelvectomie postérieure consiste à retirer le rectum (protectomie) et l'utérus (hystérectomie). Les indications de la pelvectomie sont avant tout les tumeurs malignes de la vessie et de l'utérus ainsi que celle du rectum. L'évacuation des urines et des excréments qui se fait normalement, c'est-à-dire physiologiquement par la vessie et par le rectum, est assurée par la création d'une nouvelle vessie ou d'une colostomie en procédant à une urétérostomie cutanée. La pelvectomie nécessite une hospitalisation de deux semaines environ, suivie d'une convalescence de plusieurs semaines.
  • Retour au cours pollakiurie : Fréquence excessive des mictions en petites quantités. Ces mictions ont lieu à intervalles fréquents et sont liées à une sensation de plénitude vésicale (impression de vessie pleine) qui n'est pas due à une vessie pleine mais à une vessie présentant une irritation. Cette sensation s'accompagne d'une impression de plénitude même quand la vessie n'est pas pleine.
  • Retour au cours rectite : Inflammation du rectum, plus précisément de la muqueuse rectale. Les causes de rectite sont très diverses. Il peut s'agir d'une infection, le plus souvent liée à un gonocoque, une parasitose (à cause d'une amibiase, d'une bilharziose) ou d'un traitement médical. Dans ce cas, elle est souvent le résultat d'une inflammation de la muqueuse liée à l'utilisation de suppositoires qui entraînent l'irritation de celle-ci. La rectite est soit isolée soit associée à une autre affection de type inflammatoire comme, entre autres, la rectocolite ulcéro-hémorragique ou la maladie de Crohn. La rectite s'accompagne généralement de lésions du côlon également. Les symptômes de la rectite sont des douleurs du rectum, des faux besoins, des émissions de sang par l'anus, des émissions de pus par l'anus, quelquefois une diarrhée et une altération plus ou moins intense de l'état général s'associant ou pas à une élévation de la température (fièvre). Le diagnostic est porté grâce à un examen proctologique et en particulier l'anuscopie et la rectoscopie qui s'effectue à l'aide d'un tube muni d'un système optique permettant de visualiser l'intérieur du rectum. Parfois il est nécessaire d'effectuer une coloscopie, ce qui permet d'évaluer l'importance de l'atteinte et de pratiquer un prélèvement (biopsie) de manière à orienter le diagnostic et à déterminer avec plus de précision la cause de la rectite. Le traitement nécessite l'administration d'antibiotiques, d'antiparasites et d'anti-inflammatoires selon la cause. Parfois il suffit tout simplement de supprimer la cause favorisante (aliments irritants, médicaments, suppositoires, constipation, diarrhée, etc.). Chez la majorité des patients la rectite se guérit spontanément et définitivement. La maladie de Crohn et la rectocolique ulcérohémorragique, quant à elles, nécessitent un traitement spécifique.
  • Retour au cours rectoscopie : Examen médical permettant, à l'aide d'un rectoscope introduit dans l'anus, de visualiser le canal anal, la totalité du rectum et la partie distale du côlon sigmoïde, jusqu'à la charnière rectosigmoïdienne située à 12 ou 13 cm de la marge anale. Contrairement à l'anuscopie, il nécessite souvent une préparation minime permettant d'évacuer le contenu du rectum à l'aide d'un petit lavement. Il est normalement indolore et ne nécessite pas d'anesthésie. Elle se fait à l'aide d'un endoscope rigide, long de 15 à 25 cm. Elle tend maintenant à être remplacée par la coloscopie totale qui permet une exploration du rectum et de tout le côlon.
  • Retour au cours sigmoïdite : Infection d'un ou de plusieurs diverticules du segment sigmoïde du côlon. Les diverticules sont de petites hernies de la muqueuse intestinale au travers de la paroi musculaire du côlon, le plus souvent localisés sur le sigmoïde, dans lesquelles la stagnation des matières fécales peut favoriser l'infection, selon un mécanisme analogue à celui de l'appendicite. Ces diverticules apparaissent avec l'âge et sont présents en plus ou moins grand nombre chez environ 40 % des personnes de plus de soixante ans.
  • Retour au cours spéculum : Outil médical – généralement en métal ou à usage unique en plastique – permettant d'explorer une cavité corporelle par l'écartement des parois.
  • Retour au cours sténose : Modification anatomique qui se traduit par un rétrécissement d'une structure (canal, vaisseau).
  • Retour au cours ténesme : Tension douloureuse, au niveau de l'anus ou de la vessie, avec sensation de brûlure et envie constante d'aller à la selle ou d'uriner. Cette tension apparait avant ou après l'évacuation du rectum ou de la vessie. On retrouve ce symptôme dans les inflammations du rectum ou de la vessie, d'origine infectieuse, parasitaire ou tumorale. Le ténesme se différencie des épreintes, qui sont des douleurs coliques et rectales, associées à une fausse envie d'aller à la selle.
  • Retour au cours test de Schiller : Épreuve destinée à mettre en évidence des lésions précancéreuses du col de l'utérus, en badigeonnant celui-ci avec une solution iodo-iodurée (Lugol) qui colore en brun les zones normales du col, du fait de leur richesse en glycogène, et qui ne colore pas les zones suspectes.
  • Retour au cours tomodensitométrie : TomoDensitoMétrie (TDM) ou Tomographie Axiale Calculée par Ordinateur (TACO) ou CT-scan (CT=Computed Tomography) ou scanner : Technique d'imagerie médicale qui consiste à calculer une reconstruction 3D des tissus à partir d'une analyse tomographique obtenue en soumettant le patient au balayage d'un faisceau de rayons X.