L'orientation vers le diagnostic de trichinellose humaine est souvent donnée par la symptomatologie clinique ou par la notion d'une petite épidémie et d'habitudes alimentaires.
La constatation d'une éosinophilie augmentant progressivement (pouvant dépasser 50 % des leucocytes) et l'élévation des enzymes musculaires (CPK, aldolases) sont très évocatrices.
La certitude diagnostique relève de deux arguments :
L'examen parasitologique des selles est inutile : il n'est pas possible d'observer les adultes ou les larves dans les selles diarrhéiques.