4  -  Bibliographie

[1]  BLONDEL B., KERMARREC M., Enquête nationale périnatale 2010 : Les naissances en 2010 et leur évolution depuis 2003

[2]  Haute Autorité de Santé (HAS). Recommandation de bonne pratique : Indications de la césarienne programmée à terme.

[3]  MARPREAU L., Collège National des Sages-femmes, Association Française des Sages-femmes Enseignantes, Traité d'obstétrique Ed Elsevier Masson, Paris, 2010, 657p.

[4]  Université Virtuelle de Maïeutique Francophone (UVMAF), Suites de couches physiologiques

[5]  Collège National des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), Contenu minimum obligatoire d’un compte-rendu de césarienne

Conclusion

Avec un taux moyen de césarienne à 20-21%, les professionnels vont être de plus en plus souvent confrontés à des patientes porteuses d'utérus cicatriciel qui présentent des risques supplémentaires.

Même si les techniques d'anesthésie et opératoires se sont notablement améliorées dans la dernière décennie, il n'en demeure pas moins que l'accouchement par césarienne augmente sensiblement les facteurs de risques maternels et fÅ“taux par rapport à un accouchement voie basse.

Afin de réduire le taux de césarienne en cours de travail, il est recommandé aux professionnels (sages-femmes et médecins) de réévaluer tout au long de la grossesse, la décision du mode d'accouchement : accouchement voie basse ou césarienne.

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