• Retour au cours aminoside : Aminoside ou aminoglycoside : Famille d'antibiotiques actifs sur certains types de bactéries. Ils comprennent l'amikacine, la gentamicine, la kanamycine, la néomycine, la nétilmicine, la paromomycine, la streptomycine, et la tobramycine. La plupart de ces antibiotiques sont produits par des bactéries de la famille des actinomycètes, ou en sont dérivés par hémisynthèse. Ceux qui sont dérivés des actinomycètes du genre Streptomyces prennent le suffixe « -mycine », ceux qui sont dérivés du genre Micromonospora prennent le suffixe « -micine ».
  • Retour au cours amoxicilline : Antibiotique bêta-lactamine bactéricide de la famille des aminopénicillines, indiqué dans le traitement des infections bactériennes à germes sensibles. Elle est également indiquée chez l'adulte dans le traitement de certains ulcères de l'estomac ou du duodénum causés par une bactérie (helicobacter pylori) en combinaison avec le métronidazole ou la clarithromycine et un inhibiteur de la pompe à protons.
  • Retour au cours ampicilline : Aminopénicilline, et en tant que telle, antibiotique à spectre large. Elle a été largement utilisée pour traiter les infections bactériennes. Elle est capable de pénétrer dans une bactérie à Gram-négatif. Elle inhibe la troisième et dernière étape de la synthèse de la paroi cellulaire bactérienne, conduisant ainsi à la lyse cellulaire.
  • Retour au cours anthropozoonose : Maladie ou infection qui se transmet naturellement des animaux vertébrés à l'être humain. C'est une hémizoonose. Ce terme est souvent regroupé avec celui décrivant la modalité réciproque de transmission (zooanthroponose) sous le terme de zoonose, qui désigne toute maladie ou infection qui se transmet naturellement des animaux vertébrés à l'homme et vice-versa.
  • Retour au cours antibioprophylaxie : Antibioprophylaxie ou antibioprévention : Utilisation d'un antibiotique dans un but thérapeutique afin de prévenir l'éventuel survenue d'une infection susceptible d'être dangereuse. L'antibioprophylaxie n'a rien à voir avec le traitement antibiotique curatif c'est-à-dire utilisé pour traiter une infection en cours. L'antibioprophylaxie est recommandée en prévention d'une éventuelle surinfection pouvant survenir avant une intervention chirurgicale, surtout celle connue pour avoir un risque infectieux potentiel élevé, ou quand le patient présente une certaine fragilité concernant son immunité, c'est-à-dire les capacités de défense de son organisme (se traduisant par un déficit immunitaire). L'antibioprophylaxie, dans ce cas, est administrée en une seule dose puis quelquefois répétée sur une courte durée. L'antibioprévention peut également intéresser quelques personnes qui ont été en contact avec un individu infecté, comme c'est le cas au cours de la méningite cérébrospinale à méningocoques entre autres. Il faut, en l'occurrence, instaurer un type de prophylaxie entrant dans le cadre d'une disposition officielle.
  • Retour au cours azithromycine : Premier antibiotique macrolide du groupe des azalides. L'azithromycine est dérivée de l'érythromycine par addition d'un atome d'azote dans le cycle lactone de l'érythromycine A, rendant ainsi cet anneau lactone un anneau à 15 atomes. L'azithromycine est utilisée pour le traitement des infections des voies respiratoires, de celles des tissus mous et des infections génito-urinaires.
  • Retour au cours Bacille Gram positif : Les bactéries à Gram positif sont mises en évidence par une technique de coloration appelée coloration de Gram. Les bactéries à Gram positif apparaissent alors mauves au microscope. La technique de coloration repose sur les caractéristiques membranaires et de paroi de la bactérie. La coloration au Gram est un facteur déterminant dans la taxinomie bactérienne.
  • Retour au cours bactériémie : Présence d'un organisme pathogène (bactérie) dans le sang circulant, authentifiée par des hémocultures positives. Cette présence peut être éphémère ou chronique et peut être accompagnée de signes cliniques ou non. Une bactériémie peut être le point de départ d'un Syndrome de Réponse Inflammatoire Systémique (SRIS), d'un sepsis sévère ou non, voire dans les cas les plus graves d'un choc septique. Une bactériémie peut être d'origine iatrogène, après une extraction dentaire, une endoscopie, une intervention chirurgicale ou la manipulation d'un foyer infectieux. Les germes passent alors la barrière des vaisseaux et pénètrent dans la circulation sanguine. Le diagnostic d'une bactériémie se fait au laboratoire par la mise en évidence du germe sur une hémoculture. Les bactériémies iatrogènes peuvent être prévenues par une antibiothérapie préventive ou antibioprophylaxie.
  • Retour au cours bactériurie : Présence de bactéries dans les urines.
  • Retour au cours bétalactamine : Large classe d'antibiotiques qui comprennent les dérivés de la pénicilline, les céphalosporines, les monobactames, les carbapénèmes et les inhibiteurs de la bêta-lactamase, en bref, tout antibiotique qui contient un noyau bêta-lactame dans sa structure moléculaire. Ces molécules possèdent un noyau (cycle bêta-lactame) qui est la partie efficace de la molécule. Des variations au niveau de la chaîne latérale naturelle ou greffée permettant de modifier les propriétés de la molécule antibiotique. Parmi les antibiotiques disponibles, c'est le groupe le plus utilisé.
  • Retour au cours cefixime : Antibiotique de la classe des céphalosporines de troisième génération, utilisé pour le traitement de la gonorrhée, l'angine et la pharyngite.
  • Retour au cours ceftriaxone : Antibiotique bactéricide de synthèse de la classe des céphalosporines de troisième génération, appartenant à la famille des bêta-lactamines. Son large spectre lui confère une activité sur des bactéries à gram positif et à gram négatif. Son efficacité est très proche de celle de la céfotaxime. Elle est commercialisée sous le nom de Rocéphine. En l'absence de contre-indication, les infections graves à germes sensibles sont ses indications préférentielles (seule ou en association) : pneumonies communautaires, méningites bactériennes, pyélonéphrites, maladie de Lyme, sepsis, etc.
  • Retour au cours céphalosporine : Classe d'antibiotiques bêta-lactamines. Avec les céphamycines, ils forment le sous-groupe des céphems.
  • Retour au cours cervicite : Inflammation du col de l'utérus d'origine virale, bactérienne, ou parasitaire. Il s'agit d'une maladie sexuellement transmissible, gonocoques et chlamydiae étant principalement en cause.
  • Retour au cours Chlamydia trachomatis : Bacille de Gram indéterminé, parasite intracellulaire obligatoire. Cette bactérie est responsable de l'urétrite à chlamydia (ou chlamydiose), maladie sexuellement transmissible qui est la plus fréquente en France (50 fois plus fréquente que la gonorrhée, elle même plus fréquente que la syphilis). Son réservoir est strictement humain. Il existe 15 sérotypes, possédant un tropisme tout particulier pour les muqueuses génitales et oculaires.
  • Retour au cours chorioamniotite : Inflammation du chorion et de l'amnios. C'est la plus grande cause de survenue de fièvre chez la mère, fièvre due à une infection par une bactérie pendant la grossesse et l'accouchement. Les bactéries le plus souvent en cause sont le streptocoque et les bacilles Gram négatifs. La chorioamniotite est une infection de la cavité amniotique qui se fait le plus souvent par voie ascendante, par exemple à la suite d'une rupture des membranes ou d'une infection génitale avec un col utérin perméable, c'est-à-dire laissant pénétrer les germes.
  • Retour au cours coloration de Gram : Coloration qui permet de mettre en évidence les propriétés de la paroi bactérienne, et d'utiliser ces propriétés pour les distinguer et les classifier. Son avantage est de donner une information rapide sur les bactéries présentes dans un produit ou un milieu tant sur le type que sur la forme.
  • Retour au cours cyanose : Coloration bleutée que prennent la peau et les muqueuses lorsque le sang contient plus de 5 % d'hémoglobine désoxygénée. En fait, il est plus exact de dire que la cyanose apparaît lorsque plus de 5 g/dl de sang d'hémoglobine est sous forme désoxygénée (non liée à du dioxygène). C'est donc un signe d'hypoxémie (diminution de la teneur du sang en oxygène) et non d'hypoxie (oxygénation insuffisante des tissus). Elle est entre autres un signe d'insuffisance respiratoire hypoxique grave. Elle peut être causée par un trouble de la circulation, par une altération de l'oxyhémoglobine ou par un trouble de l'hématose. Elle peut être la conséquence, entre autres, de troubles pulmonaires, de malformations cardiaques congénitales, d'une mauvaise circulation du sang, d'une anémie ou d'une intoxication.
  • Retour au cours cytobrush : Brosse à prélèvement.
  • Retour au cours écouvillon : Écouvillon ou goupillon : Type de petite brosse à manche, à tête souvent cylindrique, servant à effectuer des prélèvements dans les cavités naturelles, et ressemblant à des cotons-tiges.
  • Retour au cours endocol : Partie interne du col de l'utérus permettant de faire communiquer l'exocol (partie externe du col) et l'endomètre (couche de cellules recouvrant l'intérieur de l'utérus). L'endocol et l'exocol sont séparés entre eux par une région de jonction où s'effectuent les frottis de dépistage du cancer du col de l'utérus.
  • Retour au cours érythromycine : Antibiotique macrolide qui a un spectre antimicrobien similaire ou légèrement plus large que celui des pénicillines. Elle est souvent utilisée chez des personnes allergiques aux pénicillines. Pour les infections des voies respiratoires, elle offre un meilleur spectre contre des organismes atypiques y compris le mycoplasme. On l'utilise également pour traiter les infections à Chlamydia, la syphilis, et la gonorrhée. Sous forme de traitement dermique local, elle est fréquemment utilisée pour traiter l'acné. L'érythromycine est produite par une souche d'Actinomyces : Saccharopolyspora erythraea, que l'on appelait autrefois Streptomyces erythraeus (d'où le nom).
  • Retour au cours Escherichia coli : Escherichia coli ou colibacille : Bactérie intestinale des mammifères très commune chez l'être humain. C'est un coliforme fécal, généralement commensal. Cependant, certaines souches d'Escherichia coli peuvent être pathogènes, entraînant alors des gastro-entérites, infections urinaires, méningites, ou septicémies.
  • Retour au cours éthambutol : Antibiotique bactériostatique et antimycobactérien. C'est un traitement privilégié contre la tuberculose et d'autres infections provoquées par des mycobactéries.
  • Retour au cours flore de Döderlein : Flore bactérienne polymorphe vaginale normale, faite de lactobacilles.
  • Retour au cours FTA-abs : FTA-abs (Fluorescent Treponemal Antibody Absorption) : Test tréponémique pour la syphilis.
  • Retour au cours hépatomégalie : Augmentation du volume du foie, palpable sous le rebord costal droit. Elle s'évalue en nombre de diamètre de doigts entre le rebord inférieur des côtes et le rebord inférieur du foie. Au-delà de la hauteur d'une paume, l'hépatomégalie est importante. Elle est calculable par la flèche hépatique (somme de la longueur du débord hépatique sous-costal + matité sous-costale).
  • Retour au cours isioniazide : Isioniazide ou IsoNicotinylHydrazine (INH) ou hydrazide de l'acide isonicotinique : Dérivé de l'acide isonicotinique. C'est un antituberculeux.
  • Retour au cours leucocyturie : Présence de globules blancs dans l'urine.
  • Retour au cours leucorrhée : Écoulement non sanglant provenant du vagin. Elle peut être physiologique (par sécrétion de glaire cervicale et desquamation vaginale) ou pathologique témoignant d'une infection, le plus souvent d'une vaginite. Bien que le terme leucorrhée signifie littéralement « sécrétion blanche », la couleur de la sécrétion vaginale peut varier en fonction de la cause : elle peut aller d'une sécrétion laiteuse à verdâtre. Les écoulements sanguinolents sont à considérer comme des métrorragies. On considère comme anormales des pertes vaginales malodorantes ou responsables d'irritation et de démangeaison.
  • Retour au cours Listeria monocytogenes : Bactérie à Gram-positif, du genre Listeria, division des Firmicutes. C'est la seule espèce du genre Listeria pathogène pour l'homme ; il s'agit d'un bacille de petite taille, non sporulé, aéro-anaérobie facultatif, ubiquitaire (sol, végétaux, eau), possédant une catalase et mobile à 20 °C. Selon certaines études, 1 à 10 % des humains seraient porteurs sains de Listeria monocytogenes dans leur intestin.
  • Retour au cours Listériose : Maladie bactérienne qui affecte de nombreuses espèces animales et qui est causée par la Listeria monocytogenes. La transmission de cette maladie se fait essentiellement par l'alimentation. On retrouve pour la plupart des espèces des formes septicémiques, des formes nerveuses et des formes génitales. La prévention repose sur un respect strict de l'hygiène. La listériose se manifeste entre autres par une septicémie, une méningite (ou méningo-encéphalite), une encéphalite, et des infections intra-utérines ou cervicales chez la femme enceinte, ce qui peut entraîner un avortement spontané (au cours des second et troisième trimestres).
  • Retour au cours lochies : Pertes de sang, de débris de muqueuse et de sécrétions lymphatiques et glandulaires s'écoulant par le vagin pendant les vingt jours suivant l'accouchement jusqu'à la pleine cicatrisation de la paroi utérine où était accroché le placenta.
  • Retour au cours macrolide : Molécule à propriétés antibiotiques, qui a des macrocycles souvent associés à des sucres neutres ou aminés. Les macrolides constituent une famille d'antibiotiques capables de diffuser dans les tissus, voire à l'intérieur des cellules. Ils sont donc actifs sur les germes intracellulaires. Ils sont utilisés dans le cas des infections pulmonaires atypiques (légionellose, infection à chlamydia), de certaines infections à streptocoques, staphylocoques méti-S, entérocoques. Cependant leur usage est délicat en raison de nombreux effets secondaires et interactions médicamenteuses.
  • Retour au cours macule : Lésion cutanée sous forme d'une tache de couleur et de taille variables. Elle ne présente pas de relief notable à la surface de la peau.
  • Retour au cours méconium : Premières selles de l'enfant.
  • Retour au cours méningo-encéphalite : Inflammation des méninges et de l'encéphale.
  • Retour au cours métronidazole : Antibiotique et antiparasitaire appartenant aux nitroimidazoles. Il inhibe la synthèse des acides nucléiques et est utilisé pour le traitement des infections liées à des bactéries anaérobies ainsi qu'à des protozoaires. Il est efficace contre, entre autres : Giardia lamblia, Entamoeba histolytica, Trichomonas vaginalis, Clostridium difficile, Helicobacter pylori. Le métronidazole est utilisé dans le traitement de colites pseudomembraneuses, c'est pourquoi on peut le retrouver associé à d'autres antibiotiques tels que les macrolides apparentés pouvant provoquer ce type de maladie.
  • Retour au cours Neisseria gonorrhoeae : Neisseria gonorrhoeae ou gonocoque : Bactérie responsable chez l'Homme de la gonococcie (ou gonorrhée).
  • Retour au cours papule : Élément cutané (« bouton »), plein (pas d'écoulement liquidien ou purulent au percement), de couleur rose ou rouge légèrement saillant, s'effaçant à la traction de la peau.
  • Retour au cours pemphigus palmoplantaire : Syphilis bulleuse présente à la naissance sur les paumes et les plantes. Ces bulles contiennent un liquide trouble et, en séchant, se transforment en croûtes qui tombent en laissant une cicatrice arrondie.
  • Retour au cours Pénicilline G : Pénicilline G ou benzylpénicilline : Forme parentérale (intraveineuse ou intramusculaire) de la pénicilline. On l'utilise pour des infections plus sévères où on ne peut s'en remettre à la pénicilline sous forme orale. Elle a exactement le même spectre d'action que la pénicilline V, son parfait équivalent sous forme orale.
  • Retour au cours probénécide : Diurétique, cependant non utilisé en tant que tel : on l'emploie à l'heure actuelle comme uricosurique et donc dans le traitement de la goutte et/ou de l'hyperuricémie. Il était jadis employé comme adjuvant dans les pénicillinothérapies. Le probénécide est un inhibiteur de la recapture des acides organiques au niveau du tubule rénal. Plus précisément, il inhibe les OATs (Organic Anion Transporters) par fixation compétitive. Ces transporteurs membranaires situés aux niveaux apicaux et basaux de la cellule tubulaire permettent une réabsorption des acides organiques tels que l'acide urique, ou la pénicilline. Il permet donc d'abaisser l'uricémie en limitant la réabsorption d'acide urique par le tubule rénal. Pour ce qui est de la pénicilline, le probénécide interfère essentiellement avec le mode d'excrétion de l'antibiotique : l'excrétion tubulaire. Il entre en compétition avec les acides organiques pour être excrété et ralentit de ce fait l'élimination rénale de pénicilline.
  • Retour au cours prurit : Symptôme fréquent (notamment en dermatologie) qui recouvre une sensation de démangeaison de la peau, le plus souvent en rapport avec des lésions dermatologiques (parfois aussi sans cause connue : c'est le prurit « sine materia »). Il constitue le principal signe fonctionnel en dermatologie.
  • Retour au cours pustule : Lésion dermatologique courante caractérisée par un soulèvement épidermique contenant d'emblée du pus.
  • Retour au cours rifampicine : Antibiotique utilisée habituellement à la dose de 10 mg•kg-1•j-1, pendant une durée de 6 mois, pour le traitement de la tuberculose, ainsi que pour le traitement de beaucoup de méningites bactériennes. Cet antibiotique est un fort inducteur enzymatique : il accélère la dégradation des autres médicaments, notamment les contraceptifs oraux. Les femmes sous contraceptifs sont donc invitées à revoir leur traitement à la hausse (après consultation du gynécologue), voire à passer à une contraception mécanique (préservatif, etc.) pendant la durée du traitement.
  • Retour au cours score de Nugent : Système de classement de la coloration de Gram, pour diagnostiquer la vaginose bactérienne. Le score de Nugent est calculé en évaluant la présence de grands bacilles à Gram positif, de petits bacilles à Gram variable et de bacilles courbes à Gram variable. Un score de 7 à 10 indique une vaginose bactérienne.
  • Retour au cours septicémie : Infection générale grave de l'organisme par des germes pathogènes. Elle est l'association d'une bactériémie (présence de bactéries vivantes dans le sang) et d'un syndrome de réponse inflammatoire systémique (réponse à une agression grave mais pas forcément infectieuse) présentant au moins deux signes parmi les suivants : température inférieure à 36 °C ou supérieure à 38,3 °C, pulsations supérieures à 90 battements par minute, tachycardie, polypnée ou hypocapnie, leucocytose. La septicémie peut se développer à partir de n'importe quelle infection systémique sévère. La majorité des germes responsables sont des germes du tube digestif. Autrefois, le pronostic d'une septicémie était souvent fatal. L'arrivée des antibiotiques modernes a permis aux équipes médicales de combattre efficacement ces infections qui restent néanmoins très dangereuses sur un organisme affaibli ou dans le cas de défenses immunitaires insuffisantes.
  • Retour au cours sniff test : Sniff test ou Sniff Nasal Inspiratory Pressure (SNIP) : Pression inspiratoire lors du reniflement maximal.
  • Retour au cours spectinomycine : Molécule antibiotique aminoside. Elle interfère avec le ribosome bactérien, modifiant sa fonction de synthèse protéique.
  • Retour au cours spirochète : Bactérie très mobile ayant la forme d'une petite hélice (hélicoïdale). La spirochétose est le nom donné aux maladies dues aux différentes variétés de spirochètes. Parmi celles-ci, on peut citer (liste non exhaustive) : la leptospirose ictéro-hémorragique, la fièvre des marées, l'angine de Vincent, les fièvres récurrentes, la broncho-spirochétose de Castellani, le sodoku.
  • Retour au cours Streptocoque du Groupe B : Streptocoque du Groupe B (SGB) ou Streptococus agalactiae : Type de bactéries qui est la première cause de mortalité par infection bactérienne chez les nouveau-nés. Cette bactérie est aussi responsable d'infection chez les personnes âgées. C'est aussi un pathogène important en médecine vétérinaire, car il provoque la mammite bovine (inflammation du pis) chez les vaches laitières. Le nom y fait d'ailleurs allusion (« agalactiae » = absence de lait).
  • Retour au cours syphilides : Nom donné aux affections cutanées qui sont sous la dépendance de la syphilis.
  • Retour au cours syphilis : Syphilis ou vérole : Maladie vénérienne, infectieuse et contagieuse, due au tréponème pâle. Elle se manifeste par un chancre initial et par des atteintes viscérales et nerveuses tardives, certaines manifestations survenant plusieurs années après la contamination.
  • Retour au cours tératogène : Qui provoque le développement de masses cellulaires anormales au cours de la croissance fœtale, provoquant des défauts physiques sur le fœtus.
  • Retour au cours tréponème : Genre de bactéries appartenant à la famille des Spirochaetaceae.
  • Retour au cours tuberculose : Maladie infectieuse transmissible et non immunisante, avec des signes cliniques variables. Elle est provoquée par une mycobactérie du complexe tuberculosis correspondant à différents germes et principalement Mycobacterium tuberculosis (ou Bacille de Koch (BK)).
  • Retour au cours ultramicroscope : Variété de microscope qui permet, grâce à un éclairage spécial (faisceau lumineux très intense et perpendiculaire à l'axe d'observation), de voir des objets qui ont des dimensions très petites et qu'il est impossible de voir même à de très forts grossissements.
  • Retour au cours vulvovaginite : Inflammation de la vulve et le vagin.