• Pré-requis et Objectifs
• Cours
  • Contenu
    • 1 - Diagnostic et évolution
      • 1.1 - Varicelle
        • 1 . 1 . 1 - Forme typique bénigne
        • 1 . 1 . 2 - Formes compliquées et/ou graves
          • 1 . 1 . 2 . 1 - Surinfections cutanées
          • 1 . 1 . 2 . 2 - Pneumopathie varicelleuse
          • 1 . 1 . 2 . 3 - Manifestations neurologiques
          • 1 . 1 . 2 . 4 - Formes profuses et graves
      • 1.2 - Zona
        • 1 . 2 . 1 - Arguments cliniques du diagnostic
          • 1 . 2 . 1 . 1 - Lésions vésiculeuses
          • 1 . 2 . 1 . 2 - Unilatéralité et caractère métamérique des lésions
          • 1 . 2 . 1 . 3 - Douleurs radiculaires
          • 1 . 2 . 1 . 4 - Topographie
          • 1 . 2 . 1 . 5 - Autres signes d’accompagnement de l’éruption
        • 1 . 2 . 2 - Formes graves et/ou compliquées
          • 1 . 2 . 2 . 1 - Chez les immunodéprimés
          • 1 . 2 . 2 . 2 - Chez le sujet âgé
    • 2 - Diagnostic différentiel
    • 3 - Diagnostic biologique
    • 4 - Traitement
      • 4.1 - Varicelle
        • 4 . 1 . 1 - Varicelle bénigne de l’enfant
        • 4 . 1 . 2 - Varicelles graves ou compliquées
        • 4 . 1 . 3 - Vaccination
      • 4.2 - Zona
        • 4 . 2 . 1 - Traitement local
        • 4 . 2 . 2 - Traitement antiviral systémique
          • 4 . 2 . 2 . 1 - Chez les sujets immunocompétents
          • 4 . 2 . 2 . 2 - Chez les immunodéprimés
        • 4 . 2 . 3 - Traitements spécifiques du zona ophtalmique
        • 4 . 2 . 4 - Traitement des douleurs associées
  • Points essentiels
  • Version PDF
• Annexes

• Aide
• Auteurs
• Contacts

3  -  Diagnostic biologique

Le diagnostic biologique n’est habituellement pas nécessaire car le diagnostic clinique est facile.

En cas de doute, on peut réaliser un prélèvement du liquide de vésicule pour rechercher le VZV par immunofluorescence ou par culture. La PCR est une méthode rapide, spécifique et très sensible permettant de détecter de très faibles quantités d’ADN viral dans le liquide de vésicule et dans les cellules mononuclées du sang périphérique en période de virémie. Toutes ces techniques sont réservées à des laboratoires spécialisés, en général hospitaliers.

Ces examens sont essentiellement réservés aux formes atypiques et lorsque le terrain nécessite un diagnostic de certitude (immunodéprimés, femme enceinte).

Les autres examens (cytodiagnostic, biopsie, sérologie) n’ont pas d’intérêt pratique.