4.
3 - Autres explorations par imagerie médicale
4.
3.
1 - IRM (figure 21.2)
L’
IRM ne doit pas être systématique. Elle est indiquée devant :
– une suspicion de compression médullaire ou radiculaire ;
– un plasmocytome solitaire.
La place de l’IRM du rachis thoraco-lombaire dans la détermination du stade de la maladie ou dans la cotation des lésions osseuse est discutée.
4.
3.
2 - Scanner (figure 21.3)
Le scanner est indiqué :
– en cas de suspicion de compression médullaire si l’IRM est contre-indiquée ;
– en cas d’extension aux parties molles avec nécessité de biopsie guidée.
Il peut être utilisé pour préciser des lésions radiologiques discutables.
4.
3.
3 - Petscan
Le petscan a son intérêt pour évaluer une localisation extramédullaire de la maladie.
4.
3.
4 - Scintigraphie osseuse
La scintigraphie osseuse n’a pas d’intérêt : elle est le plus souvent normale ; les atteintes osseuses myélomateuses sont rarement hyperfixantes.
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