• Retour au cours antinéoplasique : Anticancéreux.
  • Retour au cours asthénie : Affaiblissement de l'organisme, fatigue physique. Par extension, elle peut concerner l'état psychique, la libido ou l'intellect.
  • Retour au cours bilharziose : Bilharziose ou schistosomiase : Maladie chronique et débilitante dont la prévalence atteint les 180 millions d'individus. Le parasite responsable, Schistosoma haematobium, a été identifié en 1851 par le parasitologiste allemand Théodore Bilharz, d'où le nom de la maladie. Cette parasitose, retrouvée en zones tropicales et subtropicales en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie, est responsable d'environ 280000 décès chaque année. La morbidité observée chez les populations humaines infectées est essentiellement liée à l'étonnante fécondité du parasite femelle dont les œufs, pondus par centaine chaque jour, sont piégés dans de nombreuses muqueuses et tissus, ce qui est à l'origine de la pathologie.
  • Retour au cours chlamydiae trachomatis : Bacille de Gram indéterminé, parasite intracellulaire obligatoire. Cette bactérie est responsable de l'urétrite à chlamydia (ou chlamydiose), maladie sexuellement transmissible qui est la plus fréquente en France (50 fois plus fréquente que la gonorrhée, elle même plus fréquente que la syphilis). Son réservoir est strictement humain. Il existe 15 sérotypes, possédant un tropisme tout particulier pour les muqueuses génitales et oculaires.
  • Retour au cours Citrate de Clomifène : Inducteur de l'ovulation le plus simple à manier, le plus économique et le plus sûr. Toutefois, en matière de Syndrome des Ovaires PolyMicroKystiques (SOPMK) et ses nombreuses variantes, terrain d'élection du CC, il convient de rappeler que la toute première mesure est l'intervention nutritionnelle qui s'avère bien souvent nécessaire (et parfois suffisante) dans une situation où le poids est volontiers excessif.
  • Retour au cours cœliochirurgie : Technique chirurgicale permettant d'intervenir sous endoscopie dans la cavité abdominale. Elle est l'extension à la chirurgie d'une technique diagnostique, la cœlioscopie. En gynécologie et obstétrique, la cœliochirurgie permet de traiter certaines formes de stérilité par la libération d'adhérences formées autour des trompes ; elle est utilisée dans certaines affections des ovaires ou de l'utérus. Dans le cas d'une grossesse extra-utérine, la cœlioscopie établissant le diagnostic est parfois suivie d'une intervention durant laquelle le chirurgien enlève soit l'œuf lui-même, soit la trompe de Fallope si son état de permet pas la conservation. Elle permet également d'effectuer des interventions plus lourdes (ablation de l'utérus pour des maladies bénignes ou cancéreuses, traitement du prolapsus génital, prélèvement de ganglions en chirurgie cancérologique), ces interventions sont soit entièrement réalisées par cœliochirurgie, soit par une association de cœliochirurgie et de chirurgie par voie vaginale (association que l'on appelle laparoscopico-vaginale).
  • Retour au cours cœlioscopie : Cœlioscopie ou laparoscopie : Technique chirurgicale mini-invasive de diagnostic (cœlioscopie proprement dite) et d'intervention (cœliochirurgie) sur la cavité abdominale, de plus en plus utilisée sur l'appareil digestif (chirurgie viscérale), en gynécologie, et en urologie. Elle fait partie des techniques d'endoscopie chirurgicale.
  • Retour au cours corps jaune : Corps jaune ou corpus luteum : Glande endocrine se développant dans l'ovaire mais de façon intermittente et cyclique, et qui résulte de la transformation du follicule de De Graaf (follicule mûr ou encore déhiscent) après expulsion de l'ovocyte lors de l'ovulation. Le corps jaune sécrète une hormone : la progestérone.
  • Retour au cours cri du Douglas : Douleur très vive lors du toucher vaginal (pratiqué avec l'index et le médius qui sont recouverts d'un gant généralement enduit d'un liquide lubrifiant), provoquée par le contact du bout des doigts dans une zone située entre l'utérus et le rectum, en arrière, au niveau du cul-de-sac de Douglas. Le doigt introduit dans le cul-de-sac postérieur déclenche une douleur intense accompagnée d'un cri : c'est ce qu'on appelle le « cri du Douglas », poussé même par les malades inconscientes. Le cri du Douglas survient entre autres en cas de grossesse extra-utérine et traduit un éclatement de la trompe où s'est effectuée la nidation (qui normalement se fait dans la cavité de l'utérus).
  • Retour au cours cul-de-sac de Douglas : Cul-de-sac de Douglas ou cul-de-sac recto-vaginal : Repli du péritoine entre l'utérus et le rectum, formant un cul-de-sac recto-vaginal. Le cul-de-sac de Douglas est l'endroit où s'accumulent les liquides qui peuvent se trouver par accident dans la cavité péritonéale (sang, pus, etc.). Cet endroit du corps est accessible par le toucher rectal, ce qui permet le diagnostic de nombreuses pathologies. Chez l'homme, ce cul-de-sac est simplement l'extrémité inférieure de la cavité péritonéale, entre la face postérieure de la vessie et la face ventrale du rectum.
  • Retour au cours cul-de-sac vaginal : Cul-de-sac vaginal ou fornix : Cavité vaginale entourant le col de l'utérus.
  • Retour au cours cytostatique : Qui a la propriété de bloquer ou ralentir la synthèse, le fonctionnement ou la multiplication cellulaires (mitose, division cellulaire). Les médicaments administrés dans le cadre d'une chimiothérapie sont appelés cytostatiques.
  • Retour au cours cytotrophoblaste : Cytotrophoblaste ou couche de Langhans : Germe, qui a un rapport avec le développement embryonnaire. Le trophoblaste de l'embryon humain, au 7e jour, va donner le syncytiotrophoblaste et le cytotrophoblaste, qui est formé par les cellules accolées au pôle embryonnaire du blastocyste. Il est constitué de cellules individualisées mononucléées.
  • Retour au cours Distilbène : Nom commercial du diéthylstilbestrol, œstrogène synthétique dont l'indication était le cancer de la prostate. Ce produit a été retiré du marché des médicaments en raison des risques importants de cancer et malformations (entre autres) liés à son utilisation en obstétrique. Le nombre de naissances issues de ces grossesse concernerait environ 200000 individus.
  • Retour au cours diverticulaires : Diverticule : Saillie de forme arrondie dont la grosseur peut aller de la taille d'un pois jusqu'à celle d'une grosse noisette.
  • Retour au cours dyspareunie : Dyspareunie ou algopareunie : Douleur de nature et d'intensité variables ressentie lors des rapports sexuels. Presque systématique lors du premier rapport vaginal due au déchirement de l'hymen. Elle devient en revanche incapacitante lorsqu'elle a lieu à tous les rapports suivants. Les douleurs peuvent être les symptômes de pathologies le plus souvent bénignes mais parfois graves, aussi est-il fortement conseillé de demander l'avis d'un médecin gynécologue qui, seul, pourra répondre à toutes interrogations, poser un diagnostic et envisager un traitement.
  • Retour au cours dysurie : Difficulté à l'évacuation de la vessie. La dysurie est souvent méconnue car indolore et d'installation progressive. On décrit la dysurie d'attente, initiale au début de la miction, et la dysurie de poussée, parfois terminale. Cette dysurie s'accompagne d'une diminution de la force du jet. On en rapproche les mictions en deux temps, les gouttes retardataires, et la sensation de vessie non vide en fin de miction.
  • Retour au cours ectopique : Ectopie : Position anormale d'un organe.
  • Retour au cours endométriose : Présence de cellules endométriales en dehors de la cavité utérine (cavité péritonéale et ovaire). L'endométriose est une maladie bénigne mais incurable, encore mystérieuse pour la communauté médicale. Ni son origine, ni son remède ne sont déterminés à ce jour, bien que plusieurs hypothèses aient été émises (notamment le rôle du reflux d'endomètre par les trompes de Fallope dans la cavité pelvienne, lors des règles). 80 % des endométrioses ont une localisation ovarienne. Les lésions d'endométriose, outre la sphère gynécologique, peuvent également se situer sur les organes digestifs, dont le rectum, sur la vessie, voire sur les reins. Dans de rares cas, des atteintes pulmonaires se produisent.
  • Retour au cours endométrite : Infection de l'endomètre. Elle fait le plus souvent suite à l'accouchement, mais elle peut aussi être causée par un geste endo-utérin (interruption volontaire de grossesse, hystérosalpingographie). L'endométrite du post-partum est une complication infectieuse commune de l'accouchement. Le premier signe en est la fièvre. Son diagnostic et son traitement permettent d'éviter l'extension de l'infection au péritoine et au pelvis.
  • Retour au cours épreinte : Douleur abdominale – de type colique s'accompagnant d'une contraction douloureuse et répétitive – de la partie terminale du côlon et du rectum s'achevant par une fausse envie pressante et impérieuse d'aller à la selle.
  • Retour au cours fosses iliaques : Fosse iliaque : Face interne, large et légèrement concave de chaque aile iliaque. La fosse formée par la branche horizontale du pubis et par l'ischion crée un bassin où se trouvent les organes de la partie inférieure de la cavité abdominale. Le terme pelvis est un dérivé du mot latin signifiant bassin.
  • Retour au cours grossesses angulaires : Grossesse angulaire : Grossesse caractérisée par l'implantation de l'œuf dans une corne utérine.
  • Retour au cours grossesses cervicales : Grossesse cervicale : Variété de grossesse dans laquelle l'œuf s'implante dans le canal cervical au-dessous de l'orifice interne du col.
  • Retour au cours grossesses hétérotopiques : Grossesse hétérotopique ou ditopique : Association d'une grossesse intra-utérine et d'une grossesse extra-utérine. Exceptionnelle, elle est devenue plus fréquente depuis l'essor de la procréation médicalement assistée et notamment des inducteurs de l'ovulation.
  • Retour au cours hCG : bêta-hCG ou HCG ou Hormone Gonadotrophine Chorionique ou Hormone Chorionique Gonadotrope (HCG) : Hormone glycoprotéique produite dès le début de la grossesse, fabriquée par l'embryon peu de temps après la conception et plus tard par le trophoblaste (partie du placenta).
  • Retour au cours hématocèle : Certaines hémorragies provenant de kystes des organes génitaux de l'homme ou du pelvis chez la femme.
  • Retour au cours hématocrite : Pourcentage relatif du volume des cellules circulant dans le sang par rapport au volume total du sang. Ce pourcentage correspond au rapport entre le volume qu'occupent les cellules circulantes du sang après centrifugation d'un prélèvement sanguin veineux et le volume centrifugé. C'est une approximation surestimée du volume qu'occupent les érythrocytes (globules rouges). L'examen permettant de déterminer l'hématocrite s'appelle un hématocrite. Il est quasiment toujours couplé à la numération des érythrocytes. Cette mesure est indispensable pour calculer le Volume Globulaire Moyen (VGM) et la Concentration Corpusculaire Moyenne en Hémoglobine (CCMH).
  • Retour au cours hématosalpinx : Épanchement de sang au niveau de la trompe de l'utérus, dû le plus souvent à une grossesse extra-utérine.
  • Retour au cours hémopéritoine : Épanchement de sang dans la cavité péritonéale, cavité virtuelle délimitée par les deux feuillets du péritoine, membrane qui tapisse d'une part la paroi de l'abdomen, d'autre part les organes abdominaux. Un hémopéritoine est le signe d'une lésion viscérale ou vasculaire. Il est dû en général à un traumatisme violent provoquant la rupture d'un organe plein (foie, rate). Il s'observe également en cas de grossesse extra-utérine ayant entraîné une rupture de la trompe. Moins fréquemment, il est lié à la présence d'une tumeur intra-abdominale. Lorsqu'il y a rupture d'un anévrysme de l'aorte abdominale, on parle d'un hémorétropéritoine.
  • Retour au cours hypoéchogène : Qui ne génère que peu d'échos en échographie, donnant des plages d'un gris très sombre, proches du noir sur l'écran de l'échographe.
  • Retour au cours isthme : Mal individualisé, il correspond au segment de transition entre le col et le corps. Il est parfois marqué radiologiquement par une légère striction. Sa largeur est de 0,5 cm en moyenne, mais subit des variations physiologiques puisqu'il s'élargit en phase prémenstruelle (on parle de « béance » de l'isthme lorsqu'elle dépasse 11 mm). À l'inverse du canal cervical, les images d'addition sont pathologiques et traduisent l'existence d'une endométriose.
  • Retour au cours laparotomie : Acte chirurgical consistant en l'ouverture de l'abdomen par une incision laissant le passage direct à d'autres actes chirurgicaux sur les organes abdominaux et pelviens. La laparotomie est une voie d'abord chirurgicale. Différentes incisions sont possibles. La plus courante est une ouverture allant du pubis au bord inférieur du sternum (appelée laparotomie médiane xyphopubienne). Dans le cadre de certaines interventions en chirurgie gynécologique, notamment les césariennes, la laparotomie est horizontale et très basse, à la limite des poils pubiens. Elle est nommée incision de Pfannenstiel.
  • Retour au cours Lévonorgestrel : Lévonorgestrel ou progestagène lévonorgestrel : Hormone utilisée comme pilule du lendemain.
  • Retour au cours lipothymie : Malaise sans perte de connaissance (ou perte de connaissance incomplète), progressif. Plusieurs termes populaires désignent ce symptôme : malaise, vertige, lourdines, évanouissements, vapeurs, etc. La lipothymie se caractérise par la survenue brutale d'une sensation d'évanouissement imminent, avec impression d'un « vide », perte d'équilibre, bouffées de chaleur, champ de vision qui se rétrécit, oppression respiratoire, apparition « d'étoiles » devant les yeux, grande faiblesse et angoisse brutale. Il ne faut pas confondre la lipothymie et la syncope qui, quant à elle, correspond à un malaise avec perte de connaissance brutale, brève, spontanément réversible, liée à une diminution brusque du débit sanguin cérébral. La signification pathologique de ces deux événements est cependant la même, et une lipothymie doit être explorée avec autant de soins qu'une syncope vraie. À noter que la lipothymie peut rester isolée ou précéder la perte de connaissance.
  • Retour au cours méthotrexate : Méthotrexate (MTX) (anciennement améthoptérine) : Agent de la classe des antimétabolites, utilisé dans le traitement de certains cancers et dans les maladies auto-immunes. Il inhibe la dihydrofolate réductase, une enzyme capitale dans le métabolisme de l'acide folique.
  • Retour au cours métrorragie : Saignement génital survenant en dehors des règles. On peut avoir des métrorragies après la ménopause ou à cause d'une grossesse extra-utérine rompue. Dans ce dernier cas le fœtus peut s'être développé dans les trompes (au lieu de l'utérus) et ainsi, rompre un vaisseau sanguin. La métrorragie peut ainsi signer un hémopéritoine. C'est une urgence médicale. Le terme métrorragie ne préjuge en rien de l'abondance du saignement. Il ne faut pas confondre métrorragie avec ménorragie, qui définit des règles anormalement longues et abondantes.
  • Retour au cours microprogestative : Microprogestatif : Classe de contraceptifs chimiques caractérisés par leur faible dosage en progestatif de synthèse.
  • Retour au cours œstrogène : Groupe de stéroïdes, dont la fonction, à l'état naturel, est d'être une hormone sexuelle femelle primaire. Ils sont produits en premier lieu par le développement des follicules des ovaires, le corps jaune (corpus luteum) et le placenta. Certains œstrogènes sont également produits en petites quantités par d'autres tissus tels le foie, la surrénale, les seins et le tissu adipeux. Ces sources secondaires d'œstrogènes sont particulièrement importantes chez les femmes lors de la post-ménopause. Les trois œstrogènes naturels sont l'estradiol, l'estriol et l'estrone. Bien que les œstrogènes soient présents dans les deux sexes, on en trouve une quantité significativement plus importante chez les femmes que chez les hommes. Elles favorisent le développement des caractères sexuels secondaires, comme les seins, et sont également impliquées dans le contrôle du cycle menstruel, ce qui explique pourquoi la plupart des pilules contraceptives en contiennent. L'usage d'œstrogènes, en particulier associés à la progestérone, est un traitement (traitement de substitution hormonale) controversé des symptômes de la ménopause. En plus de leurs rôles dans la reproduction, féminine mais aussi masculine, les œstrogènes sont impliqués dans le développement du système nerveux central, dans l'homéostasie du squelette et du système cardiovasculaire. Ils ont également des effets sur le foie et le tissu adipeux.
  • Retour au cours paucisymptomatique : Qui présente très peu de symptômes.
  • Retour au cours péritoine : Membrane séreuse continue (formée par une couche simple de cellules épithéliales) qui tapisse l'abdomen, le pelvis et ses viscères, délimitant l'espace virtuel de la cavité péritonéale. Il comprend deux feuillets en continuité l'un avec l'autre (cette précision est importante pour bien comprendre ce qu'est un organe rétropéritonéal, péritonisé et intrapéritonéal) : le péritoine viscéral (qui tapisse l'extérieur des organes) ; le péritoine pariétal (qui tapisse la face interne des parois de l'abdomen).
  • Retour au cours salpingectomie : Ablation chirurgicale des trompes de Fallope.
  • Retour au cours salpingite : Inflammation d'une, ou des deux (dans 60 % des cas) trompes de Fallope. Infections sexuellement transmissibles, gonocoques et chlamydiae sont principalement en cause.
  • Retour au cours salpingotomie : Ouverture d'une trompe de Fallope. Elle est souvent réalisée sous cœlioscopie, mais aussi par laparotomie. Elle permet entre autres d'évacuer une Grossesse Extra-Utérine (GEU) par aspiration, lorsque l'état de la trompe permet sa conservation (traitement conservateur). Dans le cas contraire il faudra réaliser une salpingectomie consistant en l'ablation de la trompe (traitement radical).
  • Retour au cours spéculum : Outil médical – généralement en métal ou à usage unique en plastique – permettant d'explorer une cavité corporelle par l'écartement des parois.
  • Retour au cours stérilet à la progestérone : Stérilet délivrant des hormones (progestérone) en continu et qui supprime l'apparition des règles.
  • Retour au cours subfébricule : Fièvre très élevée.
  • Retour au cours subictère : Forme atténuée d'un ictère.
  • Retour au cours ténesme : Tension douloureuse, au niveau de l'anus ou de la vessie, avec sensation de brûlure et envie constante d'aller à la selle ou d'uriner. Cette tension apparait avant ou après l'évacuation du rectum ou de la vessie. On retrouve ce symptôme dans les inflammations du rectum ou de la vessie, d'origine infectieuse, parasitaire ou tumorale. Le ténesme se différencie des épreintes, qui sont des douleurs coliques et rectales, associées à une fausse envie d'aller à la selle.
  • Retour au cours trophoblastique : Trophoblaste : Couche cellulaire continue formée de fibroblastes qui limite l'œuf, devenu blastocyste au 6e jour après la fécondation. Des cellules du trophoblaste peuvent être prélevées pour un Diagnostic PréNatal (DPN). Le trophoblaste est à l'origine d'une hormone spécifique de la grossesse : la Gonadotrophine Chorionique.
  • Retour au cours tuberculose : Maladie infectieuse transmissible et non immunisante, avec des signes cliniques variables. Elle est provoquée par une mycobactérie du complexe tuberculosis correspondant à différents germes et principalement Mycobacterium tuberculosis (ou Bacille de Koch (BK)).