• Retour au cours carcinomes in situ : Carcinome in situ : Carcinome très localisé, qui respecte les tissus voisins. Il s'agit d'un petit amas de cellules en apparence malignes mais qui ne franchissent pas la membrane basale (interface entre des tissus de nature différente), qui les sépare des autres tissus. Le carcinome in situ le plus fréquent est le carcinome in situ du col de l'utérus, qui ne doit pas être considéré comme un cancer tant qu'il n'a pas franchi la membrane basale, car son pronostic est totalement différent. Non traité, un carcinome in situ évolue vers un cancer invasif, d'où l'importance de le traiter même s'il n'est pas encore agressif.
  • Retour au cours carcinose péritonéale : Envahissement du péritoine par des tumeurs malignes secondaires. Les cancers donnant le plus fréquemment une carcinose péritonéale sont : les cancers de l'appareil digestif comme le cancer de l'estomac, le cancer du colon, le cancer du rectum et le cancer du pancréas ; les cancers gynécologiques et principalement le cancer de l'ovaire, mais parfois le cancer du sein sous sa forme de carcinome lobulaire invasif du sein. La carcinose péritonéale marque une dissémination métastatique de la maladie, ce qui en fait un tableau clinique de mauvais pronostic. La principale complication est l'occlusion. Le traitement repose sur la chimiothérapie, la corticothérapie et de façon exceptionnelle sur la chirurgie.
  • Retour au cours Chlamydia trachomatis : Bacille de Gram indéterminé, parasite intracellulaire obligatoire. Cette bactérie est responsable de l'urétrite à chlamydia (ou chlamydiose), maladie sexuellement transmissible qui est la plus fréquente en France (50 fois plus fréquente que la gonorrhée, elle même plus fréquente que la syphilis). Son réservoir est strictement humain. Il existe 15 sérotypes, possédant un tropisme tout particulier pour les muqueuses génitales et oculaires.
  • Retour au cours épiploon : Épiploon ou omentum : Ensemble de deux feuillets de péritoine accolés et qui relient deux viscères entre eux. Le grand épiploon ou grand omentum va de l'estomac au côlon transverse et forme un tablier à double feuillet qui se retrouve à la surface des intestins ; le petit épiploon ou petit omentum est tendu de l'estomac au foie. Chaque épiploon est parcouru par de nombreux vaisseaux.
  • Retour au cours Glaire cervicale : Sécrétion de glycoprotéines produite par les glandes du canal cervical en période pré-ovulatoire (fin de phase folliculaire). Elle assure plusieurs fonctions : condamner la cavité utérine en dehors de la période ovulatoire et ainsi la protéger contre les intrusions de germes pouvant être pathogènes ; protéger les spermatozoïdes contre les conditions hostiles du vagin (en effet, le pH du vagin est acide et toxique pour les spermatozoïdes tandis que le pH de la glaire est légèrement basique) ; fournir un appoint énergétique aux spermatozoïdes.
  • Retour au cours hyperœstrogénie : Quantité excessive d'œstrogène dans l'organisme.
  • Retour au cours hystérectomie : Acte chirurgical qui consiste à enlever tout ou une partie de l'utérus. On parle d'hystérectomie totale si elle comprend le corps et le col utérins (avec annexectomie (hystérectomie non conservatrice)). Elle est dite subtotale si on laisse en place le col utérin. On dit aussi hystérectomie « conservatrice » ou « interannexielle » si les ovaires et les trompes de Fallope sont laissés en place.
  • Retour au cours ovariectomie : Ovariectomie ou oophorectomie : Ablation chirurgicale des ovaires.
  • Retour au cours stroma : Réseau conjonctif (mésenchyme) de support d'une cellule, d'un tissu ou d'un organe (ex : stroma de l'endomètre utérin).