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anaphrodisie
:
Absence de désir sexuel pendant un rapport sexuel normal. Ce trouble se manifeste par une indifférence totale au coït. Dans l'anaphrodisie primaire, cette absence de désir existe depuis toujours. Dans l'anaphrodisie secondaire, elle apparaît après une période normale, où le désir existe. Une femme se plaignant d'anaphrodisie ne souffre pas forcément de frigidité ou d'anorgasmie. Seul le désir sexuel manque, il n'y a pas de désir spontané de l'acte sexuel ni de la masturbation. Par contre, lors des rapports sexuels ou lors de la masturbation, cette femme peut tout de même avoir du plaisir ou un orgasme. Son origine est diverse : contexte familial, contexte éducatif, contexte pathologique voire traumatique.
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androgène
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Tout composé naturel ou synthétique, généralement une hormone stéroïde, qui stimule ou contrôle le développement et le maintien des caractères masculins chez les vertébrés en se liant aux récepteurs androgènes. Cela englobe aussi l'activité des organes sexuels mâles secondaires et le développement des caractères sexuels secondaires. Les androgènes, qui ont été découverts en 1936, sont également appelés « hormones androgènes ». Les androgènes sont aussi les stéroïdes anabolisants d'origine. Ils sont aussi les précurseurs de tous les œstrogènes, les hormones sexuelles femelles. Le principal androgène, qui est aussi le plus connu est la « testostérone ».
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annexite
:
Inflammation des annexes de l'utérus, plus couramment appelée salpingo-ovarite.
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anorgasmie
:
Absence réitérée et persistante d'orgasme (définition du DSM-III), le désir étant conservé, contrairement à ce que l'on retrouve dans l'anaphrodisie. Cette pathologie souvent attribuée exclusivement à la femme se rencontre également chez l'homme mais de façon plus rare.
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apareunie
:
Impossibilité d'accomplir l'acte sexuel.
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bartholinite
:
Infection de la glande de Bartholin qui survient sur le mode aigu et qui est particulièrement caractéristique. Les deux glandes de Bartholin situées au niveau du tiers postérieur des grandes lèvres dont les sécrétions filantes, incolores et lubrifiantes qui facilitent la pénétration du pénis lors des rapports sexuels.
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bougies de Hégar
:
Bougie de Hégar ou dilatateur de Hégar : Bougie métallique permettant de dilater le canal du col utérin.
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canaux de Muller
:
Lors du stade indifférencié du développement de l'appareil génital, il y a formation de voies génitales doubles : canaux de Wolff et canaux de Müller. Chez l'humain, ce stade a lieu à la 6ème semaine embryonnaire. Lorsque l'embryon possède des testicules, ces derniers vont sécréter deux hormones : la testostérone, par les cellules de Leydig, et l'Hormone Anti-Müllérienne (AMH) par les cellules de Sertoli. Lorsque l'AMH est sécrétée, on assiste à une dégénération (ou involution) des canaux de Müller et la testostérone entraine le développement des voies génitales mâles. Lorsque l'embryon est génétiquement une femelle, l'hormone AMH n'est pas sécrétée et donc les canaux de Müller ne dégénèrent pas, ils vont se développer en voies génitales femelles, et la testostérone n'étant pas produite, elle ne permet alors pas le maintien des canaux de Wolff qui eux vont régresser.
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cervicite
:
Inflammation du col de l'utérus d'origine virale, bactérienne, ou parasitaire. Il s'agit d'une maladie sexuellement transmissible, gonocoques et chlamydiae étant principalement en cause.
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cobalthérapie
:
En radiothérapie, emploi d'une substance radioactive, le cobalt, qui émet des rayons gamma de haute énergie que l'on dirige vers les tumeurs situées profondément dans le corps en vue de détruire des cellules cancéreuses.
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cœlioscopie
:
Cœlioscopie ou laparoscopie : Technique chirurgicale mini-invasive de diagnostic (cœlioscopie proprement dite) et d'intervention (cœliochirurgie) sur la cavité abdominale, de plus en plus utilisée sur l'appareil digestif (chirurgie viscérale), en gynécologie, et en urologie. Elle fait partie des techniques d'endoscopie chirurgicale.
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condylome
:
Excroissance indolore touchant la peau ou les muqueuses des régions anale et/ou génitale. L'aspect le plus fréquent des condylomes les font surnommer « crêtes de coq », mais les lésions peuvent parfois être planes et même rester non visibles à l'œil nu. Les condylomes représentent une affection de plus en plus fréquente, et se rencontrent surtout chez les jeunes. Cette maladie est causée par un virus (papillomavirus) dont la transmission est essentiellement sexuelle.
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conjugopathie
:
Souffrance pathologique due aux mauvaises relations dans le couple.
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dyspareunie
:
Dyspareunie ou algopareunie : Douleur de nature et d'intensité variables ressentie lors des rapports sexuels. Presque systématique lors du premier rapport vaginal due au déchirement de l'hymen. Elle devient en revanche incapacitante lorsqu'elle a lieu à tous les rapports suivants. Les douleurs peuvent être les symptômes de pathologies le plus souvent bénignes mais parfois graves, aussi est-il fortement conseillé de demander l'avis d'un médecin gynécologue qui, seul, pourra répondre à toutes interrogations, poser un diagnostic et envisager un traitement.
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eczéma
:
Maladie de la peau mal connue, inflammatoire non contagieuse. On distingue deux grands types d'eczéma : l'eczéma atopique, caractérisé par une prédisposition génétique et son association avec d'autres allergies et touchant principalement les jeunes enfants, et l'eczéma de contact, plus fréquent chez l'adulte, qui est une réaction allergique d'hypersensibilité immunologique cellulaire au contact d'une substance donnée. Il existe également une forme d'eczéma de contact dit irritatif, où les mécanismes de frottements répétés agissent en provoquant une réaction inflammatoire qui aboutit au même tableau clinique que les autres formes d'eczémas. Bien que le mécanisme n'ait pas encore été mis à nu, un grand consensus existe pour associer, au moins partiellement, l'état de stress à l'importance des manifestations de la majorité des cas d'eczéma atopique.
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Endométriose
:
Présence de cellules endométriales en dehors de la cavité utérine (cavité péritonéale et ovaire). L'endométriose est une maladie bénigne mais incurable, encore mystérieuse pour la communauté médicale. Ni son origine, ni son remède ne sont déterminés à ce jour, bien que plusieurs hypothèses aient été émises (notamment le rôle du reflux d'endomètre par les trompes de Fallope dans la cavité pelvienne, lors des règles). 80 % des endométrioses ont une localisation ovarienne. Les lésions d'endométriose, outre la sphère gynécologique, peuvent également se situer sur les organes digestifs, dont le rectum, sur la vessie, voire sur les reins. Dans de rares cas, des atteintes pulmonaires se produisent.
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épisiotomie
:
Acte chirurgical consistant à ouvrir le périnée au moment de l'accouchement afin de laisser passer l'enfant. Cette incision a idéalement pour but de sectionner le muscle releveur de l'anus.
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eupareunie
:
Conditions normales de l'accomplissement de l'acte sexuel qui apparaissent acceptables pour les deux partenaires. L'eupareunie s'oppose à la dyspareunie qui représente un acte sexuel douloureux pour la femme, sans qu'il n'y ait contracture de la vulve.
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fissure anale
:
Petite crevasse ou lésion superficielle, située sur la paroi du canal anal (à la base du rectum). Elle survient fréquemment chez les adultes, en raison de crises de constipation répétées, de selles dures, de diarrhée ou, plus rarement, de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin ou de certaines pratiques sexuelles, comme la sodomie. Les fissures anales sont également fréquentes chez les bébés de 6 mois à 2 ans, mais rares chez les enfants plus vieux. La fissure anale cause des douleurs vives et des saignements légers, particulièrement au moment des selles. Dans la très grande majorité des cas, elles peuvent se résorber sans faire appel à la chirurgie.
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frigidité
:
Absence de plaisir lors des relations sexuelles. C'est un trouble qui peut concerner les hommes ou les femmes, mais pour les hommes, on parlera plutôt d'impuissance sexuelle.
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herpès
:
Maladie virale chronique responsable d'éruptions cutanées récidivantes et portée par le virus Herpes simplex. Elle représente également la première cause d'ulcérations génitales en Europe principalement. L'herpès génital favorise la transmission du virus du sida.
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hypoplasie
:
Hypoplasie ou hypoplastie : Arrêt du développement ou développement insuffisant d'un tissu ou organe. La plupart des causes d'hypoplasie sont des maladies génétiques.
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hystérectomie
:
Acte chirurgical qui consiste à enlever tout ou une partie de l'utérus. On parle d'hystérectomie totale si elle comprend le corps et le col utérins (avec annexectomie (hystérectomie non conservatrice)). Elle est dite subtotale si on laisse en place le col utérin. On dit aussi hystérectomie « conservatrice » ou « interannexielle » si les ovaires et les trompes de Fallope sont laissés en place.
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iatrogène
:
Iatrogénie ou iatrogenèse : Aggravation de la pathologie traitée ou apparition d'une nouvelle maladie, d'un état, d'un effet secondaire, etc., provoquée par un traitement médical, prescrit par un médecin ou par d'autres professionnels de la santé (par exemple un pharmacien).
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Lichen scléro-atrophique
:
Maladie chronique de la peau et des muqueuses touchant principalement les zones génitales de l'homme et de la femme. Il peut apparaître à tout âge mais surtout après la ménopause. À ce jour, la cause de cette maladie n'est malheureusement pas connue. Le lichen scléro-atrophique se traduit par un prurit vulvaire (démangeaisons surtout nocturnes), la peau devient d'une couleur blanchâtre, nacrée, se fragilise et s'atrophie avec le temps (ex : effacement des lèvres, disparition du clitoris, etc.). Le lichen peut être localisé ou s'étendre aux régions périnéale et péri-anale. Les rapports sexuels en deviennent altérés à cause des douleurs pendant et après l'acte (fissuration de la peau, saignements). Les seuls traitements existants sont des crèmes à fort dosage en cortisone et pour les hommes la circoncision peut être bénéfique. Un lichen non ou mal soigné peut, dans certains cas, se transformer en cancer. Le lichen peut être traité mais avec un traitement de longue durée, un an plus suivant les cas.
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ligaments utérosacrés
:
Ligament utérosacré : Ligament qui unit le col de l'utérus au sacrum et se confond avec le bord supérieur de la lame sagittale sacro-recto-génito-vésico-pubienne.
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ménopause
:
Arrêt des règles. Lors de la ménopause la femme ne possède plus suffisamment de follicules car ceux-ci ont été soit utilisés pour le cycle ovarien soit les cellules folliculaires ont dégénéré par le phénomène d'atrésie folliculaire. On la divise en plusieurs étapes : périménopause (période d'irrégularités des cycles menstruels précédant la ménopause et l'année qui suit l'arrêt apparent des règles) ; post-ménopause (ménopause confirmée). La ménopause survient en moyenne à l'âge de 51 ans en France.
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méthode non opératoire de Franch
:
Dilatation instrumentale de la cupule vaginale à l'aide de bougies, dépendant de l'élasticité de la cupule.
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myorraphie
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Suture d'un muscle déchiré ou sectionné. La myorraphie est utilisée dans de nombreuses pathologies : stabilisation dynamique de la tête humérale (épaule), réparation des prolapsus génitaux (paroi du vagin), traitement des rectocèles, etc.
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œstrogénique
:
Œstrogène : Groupe de stéroïdes, dont la fonction, à l'état naturel, est d'être une hormone sexuelle femelle primaire. Ils sont produits en premier lieu par le développement des follicules des ovaires, le corps jaune (corpus luteum) et le placenta. Certains œstrogènes sont également produits en petites quantités par d'autres tissus tels le foie, la surrénale, les seins et le tissu adipeux. Ces sources secondaires d'œstrogènes sont particulièrement importantes chez les femmes lors de la post-ménopause. Les trois œstrogènes naturels sont l'estradiol, l'estriol et l'estrone. Bien que les œstrogènes soient présents dans les deux sexes, on en trouve une quantité significativement plus importante chez les femmes que chez les hommes. Elles favorisent le développement des caractères sexuels secondaires, comme les seins, et sont également impliquées dans le contrôle du cycle menstruel, ce qui explique pourquoi la plupart des pilules contraceptives en contiennent. L'usage d'œstrogènes, en particulier associés à la progestérone, est un traitement (traitement de substitution hormonale) controversé des symptômes de la ménopause. En plus de leurs rôles dans la reproduction, féminine mais aussi masculine, les œstrogènes sont impliqués dans le développement du système nerveux central, dans l'homéostasie du squelette et du système cardiovasculaire. Ils ont également des effets sur le foie et le tissu adipeux.
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œstrogénothérapie
:
Thérapie basée sur l'administration d'œstrogènes.
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prolapsus
:
Prolapsus génital ou descente d'organes : Déplacement anormal d'un ou de plusieurs organes du pelvis féminin vers le bas.
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prurit
:
Symptôme fréquent (notamment en dermatologie) qui recouvre une sensation de démangeaison de la peau, le plus souvent en rapport avec des lésions dermatologiques (parfois aussi sans cause connue : c'est le prurit « sine materia »). Il constitue le principal signe fonctionnel en dermatologie.
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pseudohermaphrodisme
:
Ensemble de pathologies qui se distinguent par des anomalies de la différenciation sexuelle. Il ne faut pas les confondre avec l'hermaphrodisme qui voit cohabiter chez un même individu les deux types d'organes génitaux (masculin et féminin).
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psychotrope
:
Substance qui agit principalement sur l'état du système nerveux central en y modifiant certains processus biochimiques et physiologiques cérébraux, sans préjuger de sa capacité à induire des phénomènes de dépendance, ni de son éventuelle toxicité. En altérant de la sorte les fonctions du cerveau, un psychotrope induit des modifications de la perception, des sensations, de l'humeur, de la conscience (états modifiés de conscience) ou d'autres fonctions psychologiques et comportementales.
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rétroversion utérine
:
Utérus orienté vers l'arrière, alors que normalement il devrait se trouver couché sur la vessie. Le corps de l'utérus est couché sur la vessie, s'il est trop penché en avant il est dit antéversé. Si le corps de l'utérus part vers l'arrière, il est dit rétroversé. L'utérus rétroversé est loin d'être exceptionnel puisqu'on estime que 20 à 30 % des femmes ont cette variante anatomique. Médicalement ça peut donner plus de douleurs au moment des règles, une petite gêne lors des rapports. Pendant la grossesse, il peut y avoir une gêne pendant l'accouchement car le bébé appuie sur l'arrière. On n'opère ce genre d'utérus pour le redresser que s'il y a vraiment beaucoup de douleurs.
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spéculum
:
Outil médical – généralement en métal ou à usage unique en plastique – permettant d'explorer une cavité corporelle par l'écartement des parois.
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Sténose
:
Modification anatomique qui se traduit par un rétrécissement d'une structure (canal, vaisseau).
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stérilité
:
État involontaire d'un individu inapte à concevoir un enfant.
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syndrome de Master et Allen
:
Douleur pelvienne permanente, exagérée en position debout et en cas de fatigue. Il existe également une dyspareunie balistique (douleur lors des rapports sexuels, notamment lorsque le pénis est introduit le plus profondément possible) et une hypermobilité douloureuse du col lors de l'examen clinique. La cause généralement à l'origine de ce syndrome est un accouchement traumatique d'un gros bébé ou d'un traumatisme, entrainant des lésions anatomiques : rupture conjonctive des ligaments utéro-sacrés et déchirure du ligament large. La cœlioscopie confirme le diagnostic. Le traitement est chirurgical et consiste à raccourcir les ligaments ronds.
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syndrome de Rokitansky-Küster-Hauser
:
Absence congénitale totale ou partielle de vagin et d'utérus mais avec des trompes et des ovaires normaux.
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trichomonas
:
Trichomonas vaginalis : Protozoaire flagellé (animal microscopique constitué d'une seule cellule, ayant la forme d'une poire dont le corps est muni de 3 à 5 flagelles, sorte de cil) et qui mesure environ 7 à 10 micromètres mais peut atteindre parfois une longueur de 25 micromètres. Il s'agit d'un parasite des cavités naturelles.
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vaginisme
:
Contraction musculaire prolongée ou récurrente des muscles du plancher pelvien qui entourent l'ouverture du vagin. Sa source est toujours psychologique, mais découle souvent d'une source physiologique.