• Retour au cours aménorrhée : Absence des règles, de menstruation. Le plus souvent, la grossesse en est la cause. Dans les autres cas, l'aménorrhée peut être l'unique symptôme d'une pathologie ou au contraire, un parmi de nombreux autres. La recherche de la cause d'une aménorrhée nécessite rarement des examens nombreux. La prise en charge thérapeutique est parfois plus délicate.
  • Retour au cours anamnèse : Récit des antécédents médicaux, et historique de la plainte actuelle du patient, avec les résultats des différentes explorations déjà faites et les traitements entrepris. « Plainte » signifie ici « de quoi se plaint » le patient (et non pas « faire une plainte »). Elle est recueillie en général suite à un interrogatoire mené par un médecin auprès du patient ou de l'un de ses proches. Elle est le premier élément de l'examen médical proprement dit. Elle est colligée dans le dossier médical. C'est la première étape pour aboutir au diagnostic.
  • Retour au cours anovulation : Absence d'ovulation lors d'un cycle.
  • Retour au cours Asthénospermie : Absence de mobilité ou faible mobilité des spermatozoïdes.
  • Retour au cours Azoospermie : Absence totale de spermatozoïdes dans le sperme. Elle peut être soit excrétoire (c'est-à-dire due à une obstruction quelconque sur les canaux transportant le sperme) soit sécrétoire (c'est-à-dire due à un problème de formation des spermatozoïdes) au niveau des tubes séminifères. C'est une cause de stérilité.
  • Retour au cours basale : Basal : Terme médical indiquant la valeur de référence par rapport à laquelle on mesure une inconnue.
  • Retour au cours canaux éjaculateurs : Canaux éjaculateurs ou conduits éjaculateurs : Deux conduits très courts, essentiellement localisés dans la partie postérieure de la prostate, et qui sont à l'origine du réflexe de l'éjaculation. Un canal éjaculateur naît de la jonction du canal déférent et de l'abouchement de la vésicule séminale. Il pénètre dans la prostate et s'y termine dans l'urètre, au niveau du colliculus séminal. Sa direction est oblique caudalement et ventralement, et il mesure environ 2 cm. Au cours de l'éjaculation, le sperme passe par ce conduit pour ensuite emprunter l'urètre, et finalement sortir du corps par l'extrémité distale du pénis.
  • Retour au cours chlamydiae trachomatis : Bacille de Gram indéterminé, parasite intracellulaire obligatoire. Cette bactérie est responsable de l'urétrite à chlamydia (ou chlamydiose), maladie sexuellement transmissible qui est la plus fréquente en France (50 fois plus fréquente que la gonorrhée, elle même plus fréquente que la syphilis). Son réservoir est strictement humain. Il existe 15 sérotypes, possédant un tropisme tout particulier pour les muqueuses génitales et oculaires.
  • Retour au cours cœlioscopie : Cœlioscopie ou laparoscopie : Technique chirurgicale mini-invasive de diagnostic (cœlioscopie proprement dite) et d'intervention (cœliochirurgie) sur la cavité abdominale, de plus en plus utilisée sur l'appareil digestif (chirurgie viscérale), en gynécologie, et en urologie. Elle fait partie des techniques d'endoscopie chirurgicale.
  • Retour au cours courbe ménothermique : Tracé relevant les variations de la température corporelle rectale au cours d'un cycle menstruel. Pour établir une telle courbe, la température doit être prise tous les matins à la même heure, si possible avant le lever. On note également les dates des règles, douleurs pelviennes, saignements inter-menstruels, thérapeutiques prises, rapports sexuels. Le jour de l'ovulation, le changement des taux d'hormones circulant dans le sang (arrivée de progestérone) provoque une élévation d'environ un demi-degré Celsius. Cette élévation disparaît en fin de cycle, s'il n'y a pas eu de fécondation, au moment où le corps jaune régresse. Il est intéressant d'établir de telles courbes ménothermiques pour une femme qui veut pratiquer une contraception sans contraceptifs, uniquement basée sur l'évaluation du jour de l'ovulation. La méthode reste cependant très aléatoire car de nombreux facteurs peuvent perturber la courbe (se lever la nuit, toute maladie, etc.).
  • Retour au cours déférents : Canal déférent ou spermiducte : Canal qui permet aux spermatozoïdes de sortir de chacun des testicules et de rejoindre la prostate.
  • Retour au cours diéthylstilbœstrol : DiÉthylstilBestrol (DES) : Œstrogène de synthèse dangereux, autrefois prescrit contre les avortements à répétition et les accouchements prématurés.
  • Retour au cours dysovulation : Ovulation irrégulière.
  • Retour au cours endocol : Partie interne du col de l'utérus permettant de faire communiquer l'exocol (partie externe du col) et l'endomètre (couche de cellules recouvrant l'intérieur de l'utérus). L'endocol et l'exocol sont séparés entre eux par une région de jonction où s'effectuent les frottis de dépistage du cancer du col de l'utérus.
  • Retour au cours endomètre : Muqueuse interne de l'utérus.
  • Retour au cours épididyme : Organe cylindrique situé derrière chaque testicule et s'étalant en « embrassant » celui-ci, faisant suite aux canaux efférents, petits tubes sortant du testicule. L'épididyme se prolonge par le canal déférent ou canal spermatique, qui débouche dans l'urètre et qui est destiné à évacuer à la fois les urines et le sperme. Le canal de l'épididyme est microscopique et très long. Sa forme anatomique le maintient pelotonné sur lui-même. C'est à l'intérieur de celui-ci que les cellules spermatiques, c'est-à-dire les précurseurs des spermatozoïdes produits dans le testicule, progressent lentement en achevant leur maturation.
  • Retour au cours estradiol : Estradiol ou œstradiol : Dérivé naturel du métabolisme du cholestérol (via la testostérone), et d'intérêt vital pour le maintien de la fertilité et des caractères sexuels secondaires chez la femme.
  • Retour au cours estradiolémie : Estradiolémie ou œstradiolémie : taux d'estradiol.
  • Retour au cours fécondabilité : Probabilité de concevoir à chaque cycle menstruel.
  • Retour au cours fécondité : État d'un individu qui a déjà conçu un enfant.
  • Retour au cours fertile : Fertilité : État d'un individu apte à concevoir un enfant.
  • Retour au cours fibrome : Fibrome utérin ou fibromyome utérin : Tumeur bénigne, développée à partir du muscle de l'utérus. Les fibromes sont constitués de fibres musculaires lisses qui s'enroulent sur elles-mêmes et sont séparées par du tissu conjonctif fibreux. Il serait donc plus juste de parler de « fibromyome » pour rendre compte des deux composantes, mais le terme de fibrome est largement passé dans le langage courant.
  • Retour au cours galactorrhée : Écoulement de lait par le mamelon en dehors de l'allaitement normal de l'enfant. Elle peut avoir lieu des deux côtés (bilatérale), ou ne se produire qu'à travers un seul mamelon (unilatérale). Il est parfois nécessaire d'appuyer sur le sein pour faire sortir du liquide.
  • Retour au cours glaire cervicale : Sécrétion de glycoprotéines produite par les glandes du canal cervical en période pré-ovulatoire (fin de phase folliculaire). Elle assure plusieurs fonctions : condamner la cavité utérine en dehors de la période ovulatoire et ainsi la protéger contre les intrusions de germes pouvant être pathogènes ; protéger les spermatozoïdes contre les conditions hostiles du vagin (en effet, le pH du vagin est acide et toxique pour les spermatozoïdes tandis que le pH de la glaire est légèrement basique) ; fournir un appoint énergétique aux spermatozoïdes.
  • Retour au cours gynécomastie : Développement excessif des glandes mammaires chez l'homme. Elle peut être congénitale ou due à une maladie, à une tumeur ou à la prise de certains médicaments.
  • Retour au cours hernie inguinale : Tuméfaction de l'aine causée par l'extériorisation du péritoine d'un sac herniaire à contenu digestif, à travers un trou (le collet) de la paroi abdominale résultant d'une malformation de naissance ou acquise.
  • Retour au cours hirsutisme : Apparition d'une pilosité de type masculine dans des zones habituellement glabres chez la femme (visage, cou, thorax, ligne blanche, régions fessières et intergénitocrurales). Les poils du corps poussent selon un modèle masculin (poils androgéniques). L'hirsutisme est un symptôme plutôt qu'une maladie mais peut être le signe d'une indication médicale plus sérieuse, surtout s'il se développe bien après la puberté.
  • Retour au cours hyperspermie : Éjaculation de sperme de très grande quantité, soit plus de 6 ml. Elle peut être la conséquence d'une abstinence sexuelle trop longue ou de lésions infectieuses des glandes annexes et en particulier des vésicules séminales.
  • Retour au cours hypertrichose : Hypertrichose ou polytrichie ou polytrichose ou trichauxis : Symptôme d'un dérèglement hormonal qui se manifeste, chez l'homme ou la femme, par une pilosité envahissante sur une partie du corps ou sa totalité.
  • Retour au cours Hypospermie : Éjaculation de sperme de volume inférieur à 2 ml chez l'homme.
  • Retour au cours hystérosalpingographie : Examen de la cavité utérine et des trompes qui ne sont pas visibles sur des radiographies standards. Cet examen est très utile dans les bilans de stérilité, d'infections répétitives, de saignements génitaux, de douleurs… Elle recherche des anomalies telles qu'une tumeur, un fibrome ou un rétrécissement des voies génitales.
  • Retour au cours hystéroscopie : Examen permettant de visualiser directement la cavité utérine (l'intérieur de l'utérus) à l'aide d'un appareil optique appelé hystéroscope. On peut ainsi explorer le canal cervical, la cavité utérine et sa muqueuse, l'endomètre, et l'origine des trompes (les ostiums uterinums). Par défaut, le mot « hystéroscopie », sans autre précision, sous-entend l'hystéroscopie diagnostique. Lorsque cette méthode est utilisée pour pratiquer dans le même temps une intervention chirurgicale dans l'utérus, on parle alors de « chirurgie hystéroscopique ».
  • Retour au cours infécondité : État, volontaire ou involontaire, d'un individu qui n'a jamais conçu d'enfant.
  • Retour au cours Leucospermie : Présence anormale de polynucléaires (globules blancs) pouvant signifier un état inflammatoire infectieux. Elle est caractérisée par la présence de leucocytes dans le spermogramme à des concentrations supérieures à 1 million / ml de sperme. La leucospermie est généralement sous-évaluée ; elle atteint des niveaux élevés chez 20 % des patients stériles.
  • Retour au cours liquide séminal : Liquide biologique fabriqué par des glandes génitales masculines (prostate et vésicules séminales principalement) et émises au moment de l'éjaculation. Le liquide séminal contient les spermatozoïdes.
  • Retour au cours motilité : Capacité physiologique (flagelles, pattes, ailes, muscles, etc.) à effectuer des mouvements. Ne pas confondre avec mobilité, qui désigne la facilité à se mouvoir : en effet un animal peut être doué de motilité – par exemple avoir des pattes – et être très peu mobile – par exemple les paresseux ; autre exemple : autre exemple : la motilité de l'estomac, qui effectue des mouvements pour brasser le bol alimentaire, mais reste bien évidemment totalement immobile.
  • Retour au cours Nécrospermie : Nécrospermie ou nécrozoospermie : Présence d'un très grand nombre de spermatozoïdes morts (plus de la moitié) dans le sperme de l'homme. On la détecte grâce à un examen médical appelé spermogramme effectué après prélèvement par masturbation. La nécrospermie est généralement due à la présence d'une infection ou à des problèmes oxydatifs.
  • Retour au cours nidation : Implantation de l'embryon dans la muqueuse utérine. Cette nidation permettra à l'embryon de développer son placenta en compagnie de la muqueuse utérine de sa mère. Il restera ainsi fixé au corps de cette dernière pendant toute la période de gestation. La nidation a lieu environ six jours après la fécondation.
  • Retour au cours nodules : Nodule : Petite nodosité, petite saillie plus ou moins fibreuse normale ou pathologique, survenant à l'intérieur de la peau ou d'une muqueuse, ayant la forme d'une petite sphère, d'un grain et palpable.
  • Retour au cours Oligospermie : Oligospermie ou oligozoospermie : Présence de spermatozoïdes en quantité anormalement faible (moins de 20 000 000 spermatozoïdes par millilitre de sperme).
  • Retour au cours polype : Adénome, ou tumeur bénigne, se développant sur les muqueuses. Les polypes se retrouvent plus fréquemment sur les muqueuses du côlon, du rectum ou de l'utérus. Certains sont plats : ce sont des polypes sessiles ; d'autres possèdent un pied plus ou moins long : ce sont des polypes pédiculés. La présence de nombreux polypes sur une même muqueuse est appelée polypose.
  • Retour au cours prostate : Large glande de l'appareil génital masculin, dont la fonction principale est de sécréter et de stocker le liquide séminal, l'un des constituants du sperme.
  • Retour au cours réaction acrosomique : Réaction caractérisée par la fusion des enveloppes externes de la tête du spermatozoïde : membrane plasmique et membrane acrosomique externe. Cette fusion aboutit à la fenestration puis à la disparition de ces membranes, libérant le contenu de l'acrosome et permettant la mise en contact direct de la membrane acrosomique interne avec la zone pellucide.
  • Retour au cours salpingite : Inflammation d'une, ou des deux (dans 60 % des cas) trompes de Fallope. Cause fréquente de stérilité, la salpingite passe parfois inaperçue, et n'est alors découverte qu'à l'occasion d'un bilan de stérilité par exemple. Un germe de maladies sexuellement transmissibles est toujours responsable de la primo-infection (gonocoques et chlamydia surtout), l'infection par d'autres bactéries pathogènes ne se produisant que secondairement par voie vaginale, sanguine, lymphatique ou péritonéale.
  • Retour au cours score d'Insler : Barème de résultats du test de Hühner. Noté sur 12, il est nul entre 0/12 et 3/12, insuffisant ente 4/12 et 7/12, bon entre 8/12 et 10/12, excellent entre 11/12 et 12/12. Le score d'Insler mesure l'ouverture du col, l'abondance, la clarté, la filance et la cristallisation de la glaire.
  • Retour au cours spéculum : Outil médical – généralement en métal ou à usage unique en plastique – permettant d'explorer une cavité corporelle par l'écartement des parois.
  • Retour au cours spermatogenèse : Processus de production des spermatozoïdes, qui a lieu dans les tubes séminifères des testicules. Elle englobe les phénomènes qui, des spermatogonies (cellules souches diploïdes (2n chromosomes)), aboutissent aux spermatozoïdes (gamètes mâles haploïdes (n chromosomes)).
  • Retour au cours spermoculture : Examen d'aide au diagnostic de certaines infections (induisant ou non à un problème de fertilité masculine). Elle accompagne ou suit généralement un spermogramme ou spermocytogramme qui sont des examens de première intention qui peuvent aussi être complétés d'examens visant à apprécier les fonctions fécondantes du spermatozoïde, ou celles impliquées dans la motilité nécessaire à la traversée des voies génitales féminines. La spermoculture guide le choix de l'andrologue vers une thérapeutique antibiotique. Une spermoculture négative ne garantit pas l'absence d'infection surtout en présence d'une leucocytose.
  • Retour au cours spermocytogramme : Spermocytogramme ou examen cytologique des spermatozoïdes : Examen qui se pratique sur des cellules fixées sur lame de microscope, après coloration. Plus que le spermogramme, au-delà des anomalies physiques et externes du spermatozoïde, il s'attache à détecter les anomalies intracellulaire du gamète, et en particulier du noyau dont certaines caractéristiques – au moyen de certaines colorations – peuvent être observées au microscope. Cet examen permet notamment de détecter une éventuelle tératospermie.
  • Retour au cours spermogramme : Examen médical au cours duquel on analyse le sperme d'un homme, généralement dans le cadre d'un bilan de stérilité d'un couple.
  • Retour au cours sténose : Modification anatomique qui se traduit par un rétrécissement d'une structure (canal, vaisseau).
  • Retour au cours stérilité : État involontaire d'un individu inapte à concevoir un enfant.
  • Retour au cours Syndrome PréMenstruel : Ensemble des symptômes qui surviennent régulièrement, chez certaines femmes, avant les règles. Le plus souvent, ces symptômes se manifestent dans les quelques jours qui les précèdent, mais parfois ils peuvent se produire dès le milieu du cycle. Trois symptômes sont particulièrement fréquents : la tension mammaire, le ballonnement de l'abdomen et la tension psychique. Cependant, bien d'autres troubles peuvent être présents, comme des jambes lourdes, des céphalées ou des migraines, des troubles digestifs… Au total, plus de 100 manifestations cliniques ont été rapportées. Ces symptômes varient, en nature et en intensité, selon les femmes. Bien que la cause de cette affection reste mystérieuse, la modification des sécrétions hormonales semble être impliquée.
  • Retour au cours synéchie : Adhérence cicatricielle de deux surfaces ulcérées.
  • Retour au cours Tératospermie : Tératospermie ou tératozoospermie : Présence de moins de 30 % de spermatozoïdes de forme typique dans le sperme (seuil de normalité de l'OMS).
  • Retour au cours test de Hühner : Test de Hühner ou test post-coïtal : Test évaluant la qualité de la glaire cervicale et son « hospitalité » vis-à-vis des spermatozoïdes, afin de savoir si elle est à l'origine de l'infertilité. Il consiste à observer au microscope le comportement des spermatozoïdes contenus dans la glaire cervicale, après un rapport sexuel en période pré-ovulatoire, c'est-à-dire quelques jours avant que ne se produise l'ovulation. L'état de la barrière cervicale est ainsi décrit en termes fonctionnels, ce test servant de révélateur de la bonne relation entre la glaire et les gamètes mâles. Il s'agit d'un examen non-douloureux, de première intention au côté du spermogramme et du spermocytogramme.
  • Retour au cours testostérone : Hormone stéroïdienne, du groupe des androgènes. Elle est sécrétée par les testicules, bien que de faibles quantités soient aussi sécrétées par les glandes surrénales. C'est la principale hormone sexuelle mâle et le stéroïde anabolisant « original ». Chez l'homme, la testostérone joue un rôle clé dans la santé et le bien-être, en particulier dans le fonctionnement sexuel. Entre autres exemples ces effets peuvent être une libido plus importante, une énergie accrue, une augmentation de la production de cellules sanguines et une protection contre l'ostéoporose. En moyenne, un homme adulte produit environ 40 à 60 fois plus de testostérone qu'une femme adulte, mais les femmes sont d'un point de vue comportemental (plus que d'un point de vue anatomique ou biologique), plus sensible à l'hormone. Cependant, à l'échelle d'une population, les gammes de concentration pour les hommes et les femmes sont très étendues, de telle sorte qu'elles se chevauchent respectivement pour les valeurs basses et hautes.
  • Retour au cours tuberculose : Maladie infectieuse transmissible et non immunisante, avec des signes cliniques variables. Elle est provoquée par une mycobactérie du complexe tuberculosis correspondant à différents germes et principalement Mycobacterium tuberculosis (ou Bacille de Koch (BK)).
  • Retour au cours urètre : Canal de sortie de la vessie. Il a une fonction excrétrice dans les deux sexes (sortie de l'urine) et de plus chez l'homme une fonction reproductrice (passage du sperme).
  • Retour au cours varicocèle : Dilatation variqueuse (varices) des veines du cordon spermatique (situées dans les bourses, au-dessus et autour de chaque testicule). 15 % de la population masculine et 4 hommes sur 10 consultant pour hypofertilité ou stérilité en seraient touchés. Une relation directe entre varicocèle et infertilité est évoquée car il existe plus d'anomalies de la spermatogenèse en raison d'une probable augmentation de la température locale et d'une hypoxie relative du testicule en raison de la stase veineuse.
  • Retour au cours vésicules séminales : Deux glandes débouchant dans la prostate pour se relier aux canaux déférents qui devient à ce niveau le canal éjaculateur. Elles produisent un liquide riche en fructoses, partie majoritaire du sperme. Ce liquide sert à nourrir les spermatozoïdes qu'elles stockent. Elles se situent en dérivation sur les voies spermatiques, mesurent 5 à 10 cm de long, pour un volume de 5 à 10 ml. Les vésicules séminales sont androgéno-dépendantes. Leur sécrétion est le plasma séminal.