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Démarche diagnostique devant une adénopathie superficielle
Une adénopathie peut être secondaire à :
- une réaction immunitaire normale (ganglion réactionnel secondaire à une infection dans le territoire de drainage par exemple) ;
- une infection systémique (mononucléose infectieuse, infection VIH…) ;
- une infection du ganglion (tuberculose ganglionnaire…) ;
- une pathologie inflammatoire dysimmunitaire (sarcoïdose, lupus…) ;
- une localisation tumorale maligne :
- hémopathie lymphoïde (lymphomes de Hodgkin, non hodgkiniens, cf. chapitre 34 « Lymphomes malins », item 316 [164]),
- métastase ganglionnaire d'un cancer (carcinome, mélanome).
Dans la majorité des cas, le diagnostic étiologique d'une adénopathie superficielle se fait par la clinique et des examens biologiques. Les causes infectieuses sont les plus fréquentes.
L'examen anatomopathologique est un examen clé surtout pour le diagnostic des pathologies tumorales.
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