6  -  Conclusion


La connaissance des propriétés mécaniques et physiques essentiellement est indispensable mais non suffisante à la réalisation de l’enregistrement des relations maxillo-mandibulaires. Une réflexion autour des données physiologiques de l’occlusion et une bonne mise en œuvre et manipulation des matériaux viennent parfaire cet acte clinique primordial. La précision, surtout en prothèse fixée dento et encore plus implanto portée, est la règle. La précision de l’enregistrement ne doit pas faire oublier, qu’au préalable, il existe des pièges à éviter : les déformations d’empreintes avec les conséquences que l’on imagine sur les modèles de travail, et les zones d’imprécision comme les fonds de sillon.
Deux pièges que l’on peut facilement déjouer. Le premier en utilisant un matériau d’enregistrement fragile qui casserait lors du montage des modèles en articulateur s’ils sont légèrement « voilés ». Le second en supprimant tous les fond de sillon sur les modèles avec une petite fraise boule et en prenant la précaution de supprimer de l’enregistrement l’empreinte du sillon.

Enfin d’autres matériaux peuvent être utilisés. Leurs propriétés mécaniques et physiques peuvent êtres consultés en référence aux autres chapitres de cet ouvrage.

Cependant, un tableau récapitulatif les situent par rapport au cahier des charges.

Tableau 2- Critères de choix des matériaux d’enregistrement des relations maxillo-mandibulaires
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