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antialdostérone
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Médicament capable de s'opposer aux effets de l'aldostérone (hormone minéralocorticoïde sécrétée par les glandes corticosurrénales et ayant un rôle crucial dans le maintien de la volémie plasmatique et de la tension artérielle), utilisé dans les cas d'hyperaldostéronisme (cirrhoses, œdèmes cycliques, hypertension artérielle, etc.).
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clompramine
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Médicament utilisé comme antidépresseur et anxiolytique. Il fait partie de la classe des antidépresseurs tricycliques.
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drospirénone
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Dérivé de la spironolactone, qui est un antialdostérone. Elle a ainsi des effets favorables sur les paramètres cardiovasculaires. Cela souligne son intérêt chez les femmes à risque.
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dysphorique
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Dysphorie : Perturbation de l'humeur caractérisée par un sentiment déplaisant et dérangeant de tristesse, d'anxiété, de tension, d'irritabilité. On parle alors « d'humeur dysphorique ». Celle-ci est généralement labile.
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éthinylestradiol
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Éthinylestradiol ou Éthinyl Estradiol (EE) : Dérivé de synthèse de l'estradiol. C'est l'œstrogène actif par voie orale le plus utilisé au monde. On le trouve dans presque toutes les formulations modernes des pilules contraceptives combinées.
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hyperœstrogénie
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Quantité excessive dans l'organisme.
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Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de Sérotonine (ISRS)
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Classe d'antidépresseurs. Ils opèrent dans le cerveau afin d'augmenter le taux de sérotonine (5-hydroxytryptamine ou 5-HT), un neurotransmetteur, dans la synapse par inhibition de sa recapture. Les ISRS sont fréquemment prescrits dans les cas d'anxiété, de Trouble Obsessionnel Compulsif (TOC) et de troubles de l'alimentation. Ils sont aussi efficaces pour 60 % des hommes pour traiter l'éjaculation précoce.
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mastodynie
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Douleur mammaire uni- ou bilatérale, avec impression de sein tendu et douloureux survenant avant les règles ou au début de la grossesse. Les dérèglements hormonaux et les contraceptifs oraux (pilule) ont tendance à les accroître. Ces symptômes peuvent se rencontrer dans de multiples pathologies du sein. C'est un symptôme fréquent, mais qu'il convient de considérer avec sérieux, et de traiter systématiquement : il s'agit souvent de la manifestation clinique d'un déséquilibre œstroprogestatif, dont le traitement est nécessaire.
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nortriptyline
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Principe actif de la classe des antidépresseurs tricycliques. On l'utilise pour le traitement de la dépression. La nortriptyline intervient dans l'équilibre des substances chimiques présentes dans le cerveau.
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œstroprogestatifs
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Produit inhibiteur de l'ovulation, associant un progestatif et un œstrogène.
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progestérone
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Hormone stéroïde principalement sécrétée par le corps jaune des ovaires et impliquée dans le cycle menstruel féminin, la grossesse et l'embryogenèse. Dans le cycle ovarien, la progestérone inhibe les contractions rythmiques de la musculature utérine et crée un silence utérin sans lequel toute gestation serait impossible.
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psychotropes
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Psychotrope : Substance qui agit principalement sur l'état du système nerveux central en y modifiant certains processus biochimiques et physiologiques cérébraux, sans préjuger de sa capacité à induire des phénomènes de dépendance, ni de son éventuelle toxicité. En altérant de la sorte les fonctions du cerveau, un psychotrope induit des modifications de la perception, des sensations, de l'humeur, de la conscience ou d'autres fonctions psychologiques et comportementales.
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rétroprogestérone
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Isomère de la progestérone.
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Syndrome PréMenstruel
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Syndrome PréMenstruel (SPM) : Ensemble des symptômes qui surviennent régulièrement, chez certaines femmes, avant les règles. Le plus souvent, ces symptômes se manifestent dans les quelques jours qui les précèdent, mais parfois ils peuvent se produire dès le milieu du cycle. Trois symptômes sont particulièrement fréquents : la tension mammaire, le ballonnement de l'abdomen et la tension psychique. Cependant, bien d'autres troubles peuvent être présents, comme des jambes lourdes, des céphalées ou des migraines, des troubles digestifs… Au total, plus de 100 manifestations cliniques ont été rapportées. Ces symptômes varient, en nature et en intensité, selon les femmes. Bien que la cause de cette affection reste mystérieuse, la modification des sécrétions hormonales semble être impliquée.