Points essentiels
  • Une fièvre rebelle aux antibiotiques/antipaludiques, une lésion cutanée, une adénopathie cervicale, chez un sujet ayant séjourné en zone d'endémie, doivent faire suspecter une trypanosomose humaine africaine.
  • Tout signe neurologique clinique ou biologique chez un sujet ayant séjourné en zone d'endémie doit faire suspecter une trypanosomose humaine africaine à une phase méningoencéphalitique.
  • Le diagnostic rapide de phase est indispensable pour le choix du traitement, un malade classé en phase neurologique recevant des médicaments potentiellement toxiques.