L’implantation d’un sphincter urinaire artificiel :
B : oui, après traitement des urgenturies par anticholinergiques. C : risque d’infection de la prothèse. D : oui, car nécessité de participation active du patient pour ouvrir le sphincter lors de la miction. E : faux, il s’agit au contraire du traitement de référence.
B : oui, après traitement des urgenturies par anticholinergiques.
C : risque d’infection de la prothèse.
D : oui, car nécessité de participation active du patient pour ouvrir le sphincter lors de la miction.
E : faux, il s’agit au contraire du traitement de référence.